Architecture instrument pour corps arpenteurs
PFE déc. 2024 Paris
Auteur(s)
Alice Martins
Enseignant(s)
Luca Merlini, Dominique Rouillard
Département
THP
Enseignement
PFE
Cycle - Année
Cycle 2 - Année 5
Résumé
Nous sommes en dialogue constant avec ce qui nous entoure, le monde et l’architecture que nous nous sommes construite. Plus qu’une relation de dialogue entre architecture et corps, il est question de réverbérations. Cet état de résonance définit un corps sans limite. L’architecture est à la fois la continuation de notre corps, une extension, une autre peau, mais aussi la surface, la matière qui nous renvoie l’écho de notre image, de notre rapport au monde. Cette épaisseur non visible, mais sensitive, de relations et d’interactions est ce qui nous rattache au monde, au sol, à la réalité. Aujourd’hui submergés par les images et les informations, la sensation de perdre pied fascine autant qu’elle nous effraie. L’interface médiatisée met en cause notre corporéité. Reprendre conscience de cette épaisseur d’échos pourrait nous permettre de reprendre corps. À travers les enjeux qui se cachent derrière le corps, ses rites, et sa mise en scène, pourrions- nous tenter de mieux appréhender l’épaisseur de nos relations entre corps et architecture ? Les rituels de préparation du danseur / acteur pourraient – ils nous donner des pistes pour éveiller nos corps ? L’architecture pourrait – elle provoquer ces états d’un corps en résonance avec ce qui l’entoure ?
Alice Martins
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