oct. 2020 ACS/ENSAPM
Auteur(s)
Stéphanie Dadour (dir.)
n°ISBN
978-2-9549961-2-7
Au Liban, l’année 1989 cristallise les tensions existantes sur le territoire et paradoxalement, une tentative de restaurer la paix : les accords de Taëf d’octobre 1989 mettent théoriquement fin à la guerre civile. Les diverses versions tentant de restituer l’histoire de cette guerre ne se rejoignent pas. Au lendemain de la guerre, le mythe libanais d’une identité collective est certes fragile, mais ne s’effondre pas. Le pays n’est pas officiellement divisé, même si des disparités de natures variées persistent.
À l’échelle du territoire et de l’architecture, les séquelles sont visibles. Celles induites par les bombardements, mais aussi celles qui sont issues d’abus règlementaires, constructifs, économiques, éthiques ainsi que des altérations irréversibles vis à vis du littoral, de la nature, et de certains usages, entre autres.
Cet ouvrage engage une réflexion transversale, transdisciplinaire sur la production des savoirs sur le Liban, et particulièrement son architecture en considérant la date de 1989 comme un tournant. En décentrant les regards, elle permettra d’engager un échange sur les différentes manières de penser le Liban et d’examiner les présupposés de ces croisements. La multiplicité des cadres théoriques convoqués rend compte de la complexité de ce contexte et de sa situation. Quels outils, méthodes, notions, concepts sont issus et mobilisés dans ces différentes recherches ? Comment des chercheurs de disciplines différentes « voient/regardent/cherchent » le Liban ?
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Auteur.e.s :
Sous la direction de Stéphanie Dadour
Nabil Beyhum
Stéphanie Dadour
Dima de Clerck
Marlène Ghorayeb
Mazen Haïdar
Sébastien Lamy
Christelle Lecœur
Franck Mermier
Joseph Nasr
Rafif Rida Sidawi
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