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À l’ENSA Paris-Malaquais – Année universitaire 2017-2018
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Extrait du travail de Zoa Lefevre, étudiante en P6, dans le cadre du studio “Travelling Living Between” qui a reçu la mention très bien (A) à l’unanimité du jury. Encadrante studio de projet : Dimi …
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ZOE_LEFEVRE_TRAVELLING
Projet Supersurface_Zoe Lefevre
Extrait du travail de Zoa Lefevre, étudiante en P6, dans le cadre du studio “Travelling Living Between” qui a reçu la mention très bien (A) à l’unanimité du jury.
Encadrante studio de projet : Dimitra Kanellopoulou. Encadrante Travaux Dirigés : Boudon Fabienne
Projet Supersurface – Zoé Lefevre
Bordé par le Boulevard Périphérique, au bord du Canal Saint-Denis et ce sur une emprise RATP en frange de la ville, le projet Supersurface propose, au moyen d’un nouveau programme de logements collectifs, de reconfigurer les conditions d’accessibilité du site. La création d’un franchissement à l’échelle métropolitaine d’une part, l’infrastructure du Périphérique d’autre part, propose d’ interroger l’habitat collectif à travers la rencontre des échelles, des temporalités et des lieux de vie. L’appropriation des logements par les étudiants est un thème central du processus de conception du projet, qui dans le même temps vise à faire de ce bâtiment ‘panoramique’ un lieu de vie collective. La flexibilité du programme et l’adaptabilité de la structure à des interprétations programmatiques futures, sont rendues possibles au moyen d’une trame très permissive, dialoguant avec le paysage urbain et permettant une évolution typologique. Les logements sont pourvus de grandes baies vitrées et de loggias périphériques : cette « double peau » apporte aux habitants un rapport privilégié avec l’extérieur, en créant un dispositif d’intimité et un regard différentiel sur la ville. Le projet Supersurface acquiert ainsi une identité forte grâce à ce dialogue nouvellement établi entre l’héritage industriel et les nouveaux besoins d’un territoire en pleine évolution. Aussi devient-il, de cette manière un objet urbain singulier.
Enseignants: coordination Alice Sotgia avec François Bruneau et Flavia Pertuso Les étudiants du développement « Renouveler l’urbain : espaces, récits, actions, acteurs » (D3/5) vous invitent à l’inauguration d …
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Enseignants: coordination Alice Sotgia avec François Bruneau et Flavia Pertuso
Les étudiants du développement « Renouveler l’urbain : espaces, récits, actions, acteurs » (D3/5) vous invitent à l’inauguration de leur jeu : « CASE-TOI ! Les acteurs à la conquête du territoire… » autour de la transformation urbaine. Sur un site d’étude localisé au Nord de Paris, entre le 19e arrondissement et la Porte d’Aubervilliers, les étudiants ont réalisé une enquête de terrain. Celle-ci a été à la base du jeu, qui propose une analyse du processus de renouvellement en cours sur ce territoire.
Dans une première phase d’arpentage, les étudiants se questionnent sur les nouvelles transformation urbaine Nord Parisienne. Ils l’étudient par groupe à travers des cas d’études : ZAC Claude Bernard et Porte d’Aubervilliers, grandes infrastructures de transports, résidence Michelet. A travers chacune de ces situations se décline une forme de renouvellement urbain. Dès lors, des questions sont soulevées, le périphérique est il encore une barrière physique, une frontière ? A quoi donne lieu le travail collaboratif d’acteurs et architectes dans le contexte d’une ZAC ou d’un bâtiment tel que les entrepôts Macdonald ? Que se cache-il derrière des décisions de réaménagement telles que celles envisagées pour la résidence Michelet ?
Ce travail d’analyse, sert de matière première au jeu de décomposition urbaine imaginé par les étudiants. Il propose de rejouer l’aménagement de la ville stratégiquement, en incarnant l’un de ses acteurs principaux.
Par Alapini Léa, Anyomi Lis Mabella, Boukhalfa Samir, Amar Carreras Clara , Chazoulle Victor, Cheremond Donna, Damiano Camille, de Michele Daniela, Eupherte Alizée, Fernandes David, Froger Walter, Heit Valentin, Firmin Joachim, Li Chengxin, Monceau Alexandre, Rajaonary Yann, Ramadan Loulwa, Sota Pich Hana, Tendron-Riveiro Karine, Thimonier Charlotte, coordonnées par Alice Sotgia avec François Bruneau et Flavia Pertuso.
Le studio de projet de master (P7/P9) initié et coordonné par Christian Comiot travaille actuellement sur la dimension architecturale des mutations programmatiques attendues du site des Beaux-Arts. Enseignants: Auré …
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Le studio de projet de master (P7/P9) initié et coordonné par Christian Comiot travaille actuellement sur la dimension architecturale des mutations programmatiques attendues du site des Beaux-Arts. Enseignants: Aurélien Davrius, Lucie Morand et Aurélie Eckenschwiller, avec la participation de Bérénice Gaussuin, Ariela Katz, Pascal Laurent et Michel Possompes.
Retour sur le travail mené en Chine entre février et juin 2017 dans le cadre du P8 coordonné par Bruno J. Hubert. Avec Lucie Morand, enseignante, Guillaume Coupez et Arthur Bel, jeunes architectes diplômés de lR …
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Retour sur le travail mené en Chine entre février et juin 2017 dans le cadre du P8 coordonné par Bruno J. Hubert. Avec Lucie Morand, enseignante, Guillaume Coupez et Arthur Bel, jeunes architectes diplômés de l’ENSA Paris-Malaquais.
Plus que jamais, l’architecte et l’étudiant en architecture doivent être aujourd’hui des observateurs attentifs des mutations de la planète. Les multiples villages des montagnes du Zhejiang ou du Fujian chinois peuvent-ils être le lieu d’un modèle alternatif au développement urbain chinois dont on mesure aujourd’hui les limites? En 2017, L’ENSA Paris Malaquais et la CAA de Hangzhou ont étudié un village du Nord du Fujian (Chine), Huangcun, entre rivière et montagnes et, à partir de ses ressources, en imaginent un futur.
Le P7/P9 “Place des jeunes dans la ville” coordonné par Catherine Clarisse a mené une permanence architecturale dans le local du tri postal de la ville Lesconil, prêté par la municipalité, avec une prés …
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Le P7/P9 “Place des jeunes dans la ville” coordonné par Catherine Clarisse a mené une permanence architecturale dans le local du tri postal de la ville Lesconil, prêté par la municipalité, avec une présentation de maquettes commencées à l’école. Les étudiants ont mené des enquêtes sur le territoire, effectué des relevés du bâti existant et recueilli de nombreuses d’informations afin d’enrichir leurs travaux. Deux articles parus le lundi 6 novembre dans la presse locale sont à lire ci-dessous.
Téléchargez l’article paru dans le Télégramme du 6 novembre 2017
Téléchargez l’article paru dans Ouest France le 6 novembre 2017
Ce colloque s’est déroulé du 19 au 26 septembre 2017, sous la direction de Sabine Chardonnet-Darmaillacq (laboratoire ACS – UMR AUSser, labex Futurs Urbains), Éric Lesueur et Dinah Louda (Institut Veolia) …
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Ce colloque s’est déroulé du 19 au 26 septembre 2017, sous la direction de Sabine Chardonnet-Darmaillacq (laboratoire ACS – UMR AUSser, labex Futurs Urbains), Éric Lesueur et Dinah Louda (Institut Veolia), Cécile Maisonneuve et Chloé Voisin-Bormuth (La Fabrique de la Cité).Colloque de Cerisy « Villes et territoires résilients »
Les attendus de ce colloque en résidence et long d’une semaine :
Confrontés à la mondialisation dont l’un des aspects majeurs est l’urbanisation, les villes et les territoires s’interrogent sur leurs capacités d’adaptation face aux mutations du monde contemporain. Comment concevoir la transformation des espaces urbains, des modes de vie, des capacités d’apprentissage, des formes de gouvernance assurant des équilibres soutenables et dynamiques? Pour aborder ces questions, la notion de résilience, utilisée dans différents domaines (biologie, psychologie ou cyndinique) et qui mobilise aujourd’hui des experts, chercheurs, citoyens et élus, paraît féconde. Il s’agit, face aux stress chroniques, aux vulnérabilités et aux crises aiguës qui surgissent de façon aléatoire, de développer à la fois une compréhension des complexités à l’œuvre et des capacités de rebond, d’organisation, d’adaptation, d’invention.
L’ambition de ce colloque, qui s’adressait à tous ceux que l’avenir des villes et territoires intéresse, était par le croisement de multiples regards, de dégager des pistes de réflexion et d’action susceptibles d’éclairer un concept trop souvent dévié, soit par un libéralisme opportuniste, soit par un effet de mode.
Les débats et retombées du colloque :
Dans une perspective pluridisciplinaire et internationale, ont été considérées plusieurs situations de chocs, de vulnérabilités ou de perturbations (changement climatique, défis du développement économique et social, risques et ruptures technologiques, paramètres démographiques ou migratoires, terrorisme, gestion des ressources). On a également interrogé le lien entre bien-être urbain, solidarités et résilience au filtre des rapports affectif, culturel et politique accordés aux lieux. La qualité humaine, la culture et la confiance, l’indépendance et l’interdépendance ont été abordées pour faire face à la perte de centre de sa propre personne pour certaines populations, dans un milieu urbain ou un territoire en crise, ou face à une économie déshumanisée.
Pour ce qui est de l’analyse des enjeux de gouvernance et des rôles respectifs des politiques publiques, de la société civile et des individus dans une perspective d’intelligence collective, les débats restent ouverts, avec un horizon de réflexion sur les paradoxes liés aux enjeux de ces stratégies de résilience.
Nous avons constaté que la résilience restait encore une approche très centrée sur les économies et les cultures occidentales, qui manque dans les pays des suds.
Nous sommes tombés d’accord sur des contradictions inhérentes aux stratégies de résilience des villes et territoires :
– D’une part on constate l’impossibilité de mesurer la résilience et la limite de la planification du temps long en politique. L’installation d’un processus de résilience est différente de son évaluation. Les questions de mémoire et de dissonance cognitive ont été discutées.
– D’autre part, si l’on vise un horizon viable, la bonne saisie des échelles de temps et d’espaces est fondamentale. On peut alors considérer l’univers des possibles revu au filtre d’une approche fondamentale de la complexité avec le dialogue des disciplines.
Nous sortons de ce colloque, non pas pleins de convictions, mais conscients des controverses et des questions qui demeurent. Comment gérer les contradictions entre processus, systèmes complexes et responsabilités ? Si l’on considère que la résilience, post sidération, ne conduit pas à un retour à une situation antérieure mais à un changement, que serions-nous prêts à perdre, pour gagner quoi ? Qui énonce ces « nous » ?
L’angle territorial et urbain assumé de ce colloque nous a fait aborder la résilience selon une configuration d’espaces et de temps qui mène à un nouvel état, une force individuelle et collective, dans la perspective d’un milieu qui garde un potentiel de vie. Au fil de nos débats, s’est confirmée l’impossibilité d’une définition de la résilience. Constatant son internalité, nous en avons des représentations différentes. Cependant, sous l’angle de cette relation des hommes à un milieu, on pourrait la considérer comme une Force dynamique qui fait accepter le changement vers un nouvel équilibre. Il ne s’agirait pas de rupture mais d’un effort de chemin vers une sortie ; d’un processus et non pas d’une propriété qui tend, face à un risque ou une crise, à conjuguer le changement et la sécurité ; d’un engagement qui demande d’assumer la boucle des effets rétroactifs, la variation des pas de temps et l’ensemble des échelles pour ne pas réserver la résilience à quelques uns.
Et pour certains, nous sommes déterminés par notre souhait de poursuivre un horizon d’action collective pour un changement d’état dynamique, adhérant à l’idée que recourir à la résilience dans l’intérêt général requiert de l’exigence et de la vigilance.
Une pause active
Pour une longue après-midi ensoleillée, le colloque s’est transporté en extérieur sur un site remarquable dont la résilience à long terme reste assujettie aux variations climatiques et à la montée du niveau de la mer ou à l’ensablement chronique. Comme une synthèse du colloque, proposant une configuration à la fois individuelle et de groupe, d’une humanité qui marche vers un lieu qui change, un lieu où la nature est en action et où l’on doit veiller à discerner jusqu’où l’on peut ou non aller.
Une diffusion ouverte du colloque, en attendant la publication des actes
À l’initiative du CCIC et de l’Institut Veolia (co-directeur du colloque), nous avons réalisé, ces 23 et 24 septembre 2017, une captation vidéo de différentes interventions du colloque « Villes et territoires résilients ». Ces enregistrements sont maintenant en ligne et on peut y accéder librement à partir de ce premier lien.
http://www.colloque-tv.com/colloques/villes-et-territoires-resilients
D’autre part, deux conférences ont été mises en diffusion sur le site de France Culture : celles de Samuel Rufat présentée le 20 septembre et d’Eric Rigaud donnée le 25 septembre.
Samuel RUFAT: Résilience ou extinction… de la critique?
Eric RIGAUD: La résilience à l’échelle sociotechnique.
Pour en savoir plus sur le programme du colloque:
http://www.ccic-cerisy.asso.fr/territoiresresilients17.html
Malaquais à Cerisy
A l’occasion de deux directions de colloques à Cerisy, des circonstances propices pour articuler enseignement et recherche, m’ont permis de faire participer des étudiants à ces rencontres. Ainsi pour celui-ci, deux étudiants de Malaquais ont été invités à prendre part au Colloque : Laure Lepigeon diplômée en juin dernier et Romain Guillou entré en M1 cet automne. Extrêmement engagés et actifs, ils sont intervenus, aux côtés de deux doctorantes géographes de l’Ecole Normale Supérieure, Maya Cohen et Ariane Bachelet, lors de la séance de synthèse, préparée au fil du colloque avec l’aide de Philiep Bossier, un universitaire francophone qui enseigne à Utrecht et en Belgique.
Laure a pu également exposer rapidement, lors de l’atelier de design thinking, son travail de PFE sur la “Régénérescence de Katmandou” après le récent séisme (soutenu en Juin 2017, co-direction Arnaud Bical et Sabine Chardonnet). Elle a noué des contacts avec divers intervenants.
Romain a réalisé des dizaines de dessins et une grande figure de synthèse qui ont été salués par l’ensemble de l’auditoire et seront publiés dans les actes.
Ces deux étudiants et deux de nos récentes diplômées de l’ ENSAPM ont contribué, par leur capacité à débattre et leur engagement, à une belle réputation de Malaquais. Lisa Poletti et Marguerite Wable venues comme auditrices ont, en effet, pu discuter avec plusieurs participants de leur travail de PFE : « L’inondation vertueuse – Le risque support du développement de l’écométropole Nantes – Saint-Nazaire » (soutenu en juin 2015, co-direction Sabine Chardonnet et Philippe Simon).
Dans cette articulation recherche / enseignement / pratique Cerisy est un lieu précieux d’ouverture et d’échange qui permet de sortir de l’entre-soi de certains colloques universitaires.
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Groupe L1
Groupe L2
Groupe L3
Groupe M1
Le groupe de projet de P7/P9 Paris-Texas & retour (THP/Transitions), encadré par François Gruson, est bien arrivé début octobre à Houston, Texas, où ils ont été accueillis par le Professeur Ronnie Self et ses …
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Le groupe de projet de P7/P9 Paris-Texas & retour (THP/Transitions), encadré par François Gruson, est bien arrivé début octobre à Houston, Texas, où ils ont été accueillis par le Professeur Ronnie Self et ses étudiants.
La matinée du lundi a été consacrée au lancement du studio et à la découverte du campus. L’après-midi a permis de découvrir Downtown – le centre historique et désormais centre d’affaires de Houston. Après une visite complète du site du Museum of Fine Arts (Ludwig Mies van der Rohe et Rafael Moneo) et du chantier de son extension (Steven Holl) mardi, la journée de mercredi a été consacrée à une découverte exhaustive de la ville en car, avec un long moment passé sur le campus muséal de la De Menil Foundation (Philip Johnson, Renzo Piano).
Jeudi et vendredi sont deux journées consacrées au travail de studio dans une salle aimablement mise à leur disposition par le Hines College of Architecture, University of Houston.
Le studio international se poursuit avec un weekend d’études et de découvertes à Dallas-Fort Worth où ils découvriront des oeuvres de Norman Foster, IM Pei, Philip Johnson, Paul Rudolph, Renzo Piano, Tom Mayne, Buckminster Fuller et le Kimbell Museum of Art de Louis Kahn. La semaine prochaine sera consacrée à la poursuite du travail de projet in situ et en studio.
Du 5 au 15 septembre 2017, l’ENSA Paris-Malaquais a organisé un workshop hors les murs à Roquebrune-Cap-Martin, sur le thème “Tourisme et patrimoine”. Le workshop a été précédé par un voyage d …
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Du 5 au 15 septembre 2017, l’ENSA Paris-Malaquais a organisé un workshop hors les murs à Roquebrune-Cap-Martin, sur le thème “Tourisme et patrimoine”. Le workshop a été précédé par un voyage d’études de quatre jours qui s’est déroulé entre Nice et Port-Grimaud.
Le workshop a fait partie d’une série de rencontres, alternant workshop et séminaires de recherche, organisée à l’intérieur du réseau “Designing Heritage Tourism landescapes” dont l’ENSA Paris-Malaquais fait partie depuis trois ans.
Une quarantaine d’étudiants provenant de neuf écoles différentes (Argentine, Espagne, France, Italie, Portugal) ont travaillé sur deux sites de la commune située autour de la gare de Roquebrune Cap-Martin et de la gare de Carnolès. Ces étudiants ont pu découvrir les trois architectures : la villa E.1027, l’unité de camping et le Cabanon construit par Eileen Gray – Jean Badovici et Le Corbusier, ouvertes désormais au public.
Neuf étudiants de l’ENSA Paris-Malaquais ont participé à ce workshop.
L’événement a été organisé avec la mairie de Roquebrune Cap-Martin, l’Association Eileen Gray.Étoile de mer.Le Corbusier, le Conservatoire du Littoral, la CARF, de la FLC et l’association Cap Moderne.
Un jury composé de Marc Barani, architecte Grand Prix de l’Architecture 2013, Richard Ciocchetti, premier adjoint au maire de RCM, Jacques Sbriglio, architecte et urbaniste, Luc Liogier, directeur de l’ENSA Paris-Malaquais a évalué les projets et récompensé deux équipes.
La réflexion sur le thème proposé s’est enrichi, entre autres, des conférences de : Tim Benton professor Emeritus de Art History at the Open University, Jean Christophe Gay Université Nice-Côte d’Azur, Michel Richard Directeur de la FLC et de Luca Merlini et Soline Nivet enseignants à l’ENSA Paris-Malaquais.
L’équipe enseignante de l’ENSA Paris-Malaquais qui à organisé le workshop se compose de Maria Salerno, responsable, Rafaël Magrou, Orfina Fatigato et Lucie Morand.
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