Recoudre un territoire fragmenté par le fil de l’altérité
2022
Auteur(s)
Clotilde Albaret
Enseignant(s)
Laurence Veillet, Marc Armengaud
Département
M(s)M
D’ici 2050, 60% d’entre nous seront touchés par une ou plusieurs vulnérabilités : vieillissement, pauvreté, changement climatique, maladies liées à la pollution… La population urbaine s’élèvera alors à 6,4 milliards. Et pourtant, les villes n’ont jamais été aussi néfastes pour nous.
Cette perspective amène à s’interroger sur la vulnérabilité en milieu urbain. Le projet propose de changer la manière de la considérer en encourageant le passage d’un regard passif à un regard actif. Il s’agit de prendre conscience de la place de chacun dans un système d’interactions collectives pour ne plus repousser et cacher la fragilité, mais au contraire l’assumer.
Il faut que les vulnérabilités se croisent, que les gens se rencontrent.
Il faut décloisonner, sortir des gabarits, hybrider les programmes, faire réseau.
Il faut tisser un nouveau fil d’Ariane dans la ville, lisible et limpide, pour accueillir et intégrer la fragilité à toutes les échelles.
À la croisée de ces enjeux, la Porte de la Villette se présente comme une des dernières occasions de redonner de la place aux vulnérabilités à l’intérieur des murs de Paris.
{{title}}
Mettez à jour votre navigateur pour afficher correctement ce site Web. Mettre à jour maintenant