Architecture et engagement civique des architectes dans la ruralité - Joanne Vajda et Stefan Bâlici
24 Nov 2025 | Festival Un week-end à l'est
Lundi 24 novembre 2025
18h
École d’architecture Paris-Malaquais
14 rue Bonaparte – Paris VIe
Amphithéâtre 2 des Loges
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Un entretien entre Stefan Bâlici, président de l’Ordre des Architectes de Roumanie, et Joanne Vajda, architecte (École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais – PSL).
Avec peu de moyens et des idées ingénieuses, des architectes roumains se mobilisent pour préserver des paysages dans le Delta du Danube, sauver des villages de la désertification en Transylvanie ou encore s’opposer à un projet de mine à ciel ouvert. Celui-ci a ému le monde entier, à cause du risque de destruction d’une commune (Roșia Montană) qui figure sur la liste du Patrimoine mondial en danger de l’UNESCO.
Préserver un patrimoine vernaculaire et concevoir des architectures qui s’intègrent harmonieusement dans leur environnement, nécessite un fort engagement dans ces territoires ruraux. Ces projets, dont les modes constructifs s’adaptent aux situations locales, contribuent à reconfigurer les communautés d’habitants et ont aussi un impact fort sur le développement d’un tourisme lent et responsable.
Lundi 24 novembre 2025
18h
École d’architecture Paris-Malaquais
14 rue Bonaparte – Paris VIe
Amphithéâtre 2 des Loges
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Un entretien entre Stefan Bâlici, président de l’Ordre des Architectes de Roumanie, et Joanne Vajda, architecte (École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais – PSL).
Avec peu de moyens et des idées ingénieuses, des architectes roumains se mobilisent pour préserver des paysages dans le Delta du Danube, sauver des villages de la désertification en Transylvanie ou encore s’opposer à un projet de mine à ciel ouvert. Celui-ci a ému le monde entier, à cause du risque de destruction d’une commune (Roșia Montană) qui figure sur la liste du Patrimoine mondial en danger de l’UNESCO.
Préserver un patrimoine vernaculaire et concevoir des architectures qui s’intègrent harmonieusement dans leur environnement, nécessite un fort engagement dans ces territoires ruraux. Ces projets, dont les modes constructifs s’adaptent aux situations locales, contribuent à reconfigurer les communautés d’habitants et ont aussi un impact fort sur le développement d’un tourisme lent et responsable.
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