"Densités habitées" - Ingrid Taillandier, ITAR Architectures
8 Oct 2025 | Conférence Quartus
Une conférence du cycle "Habiter la ville et ses transitions" du Fonds de dotation Quartus pour l'architecture
Mercredi 8 octobre 2025
19h00
École d’architecture Paris-Malaquais
14 rue Bonaparte – Paris VIe
Amphithéâtre 2 des Loges
Inscription en ligne gratuite : https://urls.fr/PNL4dN
Une conférence du cycle « Habiter la ville et ses transitions » du Fonds de dotation Quartus pour l’architecture, organisée en partenariat avec l’École d’architecture Paris-Malaquais – PSL, Sammode et L’Architecture d’Aujourd’hui
« Densifier pour ITAR c’est suturer, connecter, perpétuer, étoffer, mais aussi maintenir le vivant et ses habitats. A l’équilibre voire sur le fil entre densité et respiration ; entre architecture et nature ; entre libertés individuelles et sens du lien social, comment concilier domesticité et désirs urbains et proposer aux habitants un enrichissement de leur quotidien et des usages. Pour soigner la construction afin de choyer l’habitant, façonnons un entrelacs d’échelles où le petit est aussi important que le grand, où le particulier qualifie le général. »
Ingrid Taillandier, ITAR Architectures
Mercredi 8 octobre 2025
19h00
École d’architecture Paris-Malaquais
14 rue Bonaparte – Paris VIe
Amphithéâtre 2 des Loges
Inscription en ligne gratuite : https://urls.fr/PNL4dN
Une conférence du cycle « Habiter la ville et ses transitions » du Fonds de dotation Quartus pour l’architecture, organisée en partenariat avec l’École d’architecture Paris-Malaquais – PSL, Sammode et L’Architecture d’Aujourd’hui
« Densifier pour ITAR c’est suturer, connecter, perpétuer, étoffer, mais aussi maintenir le vivant et ses habitats. A l’équilibre voire sur le fil entre densité et respiration ; entre architecture et nature ; entre libertés individuelles et sens du lien social, comment concilier domesticité et désirs urbains et proposer aux habitants un enrichissement de leur quotidien et des usages. Pour soigner la construction afin de choyer l’habitant, façonnons un entrelacs d’échelles où le petit est aussi important que le grand, où le particulier qualifie le général. »
Ingrid Taillandier, ITAR Architectures
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