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20 femmes architectes inspirantes

8 Mar 2024


A l’occasion du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, des enseignantes et enseignants de l’école ont sélectionné quelques femmes architectes inspirantes par leurs parcours de vie, leurs réalisations, leurs engagements.

Découvrez ci-dessous les profils des femmes, françaises ou étrangères, qu’ils ont ainsi choisi de mettre en avant. Certaines sont encore au début de leur carrière, d’autres ont déjà de nombreuses réalisations derrière elles. Quelques-unes sont des références historiques du XXe siècle.

Ecologie, solidarité, féminisme, innovation, recherche… Chacune, à son niveau, vient bousculer et enrichir la démarche architecturale.

Pour compléter cette sélection, une bibliographie « Femmes architectes » est disponible sur ArchiRès.

Christelle Avenier

Prix de la femme architecte 2022

Diplômée de Paris-Malaquais, Christelle Avenier est co-fondatrice et associée de l’Agence Avenier Cornejo architectes.

La démarche architecturale de son agence se veut inventive, sans a priori ni préjugés. A tout désir architectural, le but est de provoquer une réaction fertile.

Lauréate à titre individuel du prix de la Femme architecte 2022, Christelle Avenier a également reçu de nombreux prix avec son agence, dont le Prix du Logement de l’Académie d’Architecture et du Conseil national de l’Ordre des architectes (2022), le « Brick Award » dans la catégorie « Living together » (2022 également), ou encore le « Baumit Europe » dans la catégorie « Stunned by texture » (2020). Professeure invitée à la Technische Universität Darmstadt de Vienne en 2023, elle a enseigné à l’École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais de 2004 à 2011.

Fin 2023, Christelle Avenier a rejoint le conseil d’administration de l’école en qualité de personnalité extérieure qualifiée.

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Estelle Barriol

L'esthétisme du réemploi

Diplômée de l’ENSASE (Saint-Étienne), Estelle Barriol a fondé l’agence Studio ACTE, basée à Rotterdam depuis 2020.

Convaincue de la nécessité d’explorer de nouvelles formes d’architecture résiliente, sa pratique s’inspire des systèmes vernaculaires invitant à des conceptions low tech et géo-sourcées, basées sur le réemploi de matériaux. A travers une méthode de conception et de construction, Studio ACTE développe des outils où l’artisanat et les matériaux sont la pierre angulaire de chaque projet. L’objectif est de produire une architecture durable, inclusive et généreuse avec une grande qualité spatiale et humaine. Plutôt que d’utiliser des éléments standard, le studio se concentre sur la recherche appliquée de matériaux, de détails et d’assemblages impliquant l’artisanat local et les chantiers participatifs.

Estelle Barriol a été lauréate du Concours d’architecture de l’Académie des Beaux-arts 2023 avec son projet « Spolia ».

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Camille Besuelle, Nathalie Couineau et Mathilde Jauvin

Des espaces communautaires et innovants

Toutes trois diplômées de l’Ecole d’architecture Paris-Belleville, Camille Besuelle, Nathalie Couineau et Mathilde Jauvin ont fait leurs premières armes au sein de diverses agences reconnues, avant de se lancer collectivement dans un projet de logements en habitat groupé, à Pantin, où elles ont installé leur agence par la suite.

En parallèle des projets privés et publiques sur lesquels elles travaillent, elles nourrissent leur activité de montages de projets innovants, de recherche et d’ateliers pédagogiques tels « Entrée/Piat/Dessert » (programme mixte équipement/logement/bureaux, classé second en phase finale de Réinventer Paris) et « La grande Coco » (dans le cadre de Réinventer la métropole du Grand Paris).

Elles ont notamment été lauréates des Albums des Jeunes Architectes et Paysagistes 2012 et lauréates du Prix des jeunes femmes architectes 2013.

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Lina Bo Bardi

La culture de la convivialité et de la liberté

Architecte, designer, rédactrice, critique, commissaire d’expositions…, Lina Bo Bardi (1914 – 1992), d’origine italienne, a consacré sa vie professionnelle à la promotion du potentiel social et culturel de l’architecture et du design au Brésil.

Après avoir étudié auprès d’architectes italiens radicaux, elle s’est rapidement intéressée au design traditionnel brésilien et à la manière dont il pouvait influencer l’architecture brésilienne moderne. Brisant les codes de l’architecture au XXe siècle, elle a délaissé le modernisme froid pour un langage formel organique et chaleureux.

De son vivant, il lui a été difficile de se faire accepter par les architectes brésiliens locaux, parce qu’elle était à la fois « étrangère » et femme.

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Iwona Buczkowska

L'avant-garde de la construction bois

Architecte d’origine polonaise, diplômée de l’École spéciale d’architecture, Iwona Buczkowska est à l’avant-garde de la construction bois en France. Elle met en avant la notion de plan libre qui, en concentrant les éléments de structure en une mince ossature, facilite la circulation dans les bâtiments.

Travaillant beaucoup sur le territoire francilien, Iwona Buczkowska a le goût de la ville complexe.  Cherchant à créer des espaces de découverte et de convivialité, elle puise notamment son inspiration dans les modèles urbains de l’époque médiévale, de la Renaissance ou de l’âge baroque.

A la ségrégation du zonage urbain et au cadre de vie fonctionnaliste, elle oppose des espaces de vie différenciés et une organisation originale du logement. La multiplicité des angles de vue créés par les obliques s’oppose à l’inertie inhérente à l’accumulation de surfaces parallèles, développant ainsi une perception mouvante du lieu.

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Meriem Chabani

Mettre la marge au centre

Meriem Chabani est architecte urbaniste, fondatrice de l’agence New South, également enseignante à l’École d’architecture Paris-Malaquais. Elle questionne les dynamiques sociales, politiques et économiques qui s’exercent sur les territoires et forment les architectures.

Son travail a été exposé à la Biennale de design d’Istanbul (2018), au CIVA (2022) et à la Biennale de Lagos (2023). Elle est lauréate de FAIRE (2021), du prix Europe 40 under 40 décerné par le Centre européen d’architecture et le Chicago Athenaeum (2020), d’Europan (2017) et des Holcim Awards pour le Développement Durable (2014). Sujets : Rapports Sud/Nord, Villes inclusives, Architecture du Sacré, Villes productives.

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Catherine Clarisse

Priorité à la recherche

Catherine Clarisse est diplômée de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, architecte DPLG et chercheuse au LACTH (ENSAP Lille) où elle est responsable de la recherche pluridisciplinaire OSCAH (obésité sévère comportement alimentaire habitation) menée conjointement avec l’équipe du professeur François Pattou au CHRU de Lille et le CNAO.

Suite à une exposition de maquettes d’architecture, qu’elle a conçue et mise en scène au Pavillon de l’Arsenal, elle a publié l’ouvrage « Ma quête d’architecture, Maquettes d’architecture ». Elle est également l’auteur de « Cuisine, recettes d’architecture », un ouvrage sur l’évolution des cuisines dans l’habitat.

Catherine Clarisse enseigne à l’École d’architecture Paris-Malaquais.

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Stéphanie Dadour

La place des femmes dans l'architecture

Stéphanie Dadour est maîtresse de conférences en Sciences humaines et sociales à Paris-Malaquais, membre des laboratoires Architecture Culture Société (XIXe-XXIe siècles) de l’école et Méthodes et Histoire de l’architecture de l’ENSA Grenoble, et affiliée à l’Institut Convergences Migrations.

Dans le cadre de ses recherches, elle a collaboré avec différentes institutions (délégation CNRS URMIS, Université de Montréal, Columbia University, Centre Pompidou Paris) et enseigné dans plusieurs écoles d’architecture en France et au Liban. Elle est co-rédactrice en chef de la revue Métropolitiques et co-fondatrice de l’agence Dadour de Pous Architecture.

Ses travaux s’intéressent à l’espace domestique et les projections sociétales qui y sont associées. Les théories et les épistémologies féministes sont ainsi mobilisées, portant un regard critique sur l’architecture et ses systèmes d’idées : histoires, textes canoniques, projets et théories.

Depuis 2022, elle co-porte deux projets collectifs. Le projet Intimigr’, financé par l’IC Migrations qui se propose de définir et comprendre la valeur heuristique de l’intimité en articulant quatre échelles d’analyse : l’espace et les lieux de vie des migrants, la production d’un récit de soi, la métamorphose de liens affectifs et familiaux et les pratiques visant la reconnaissance de soi en tant que sujet inaliénable ; et le projet Dites, financé par ANR Action Liban, qui appréhende la question de la résilience dans une approche systémique et relationnelle pour saisir tous les échelons de la gouvernance, de l’Etat aux citoyens.

Elle a notamment publié « Des voix s’élèvent : les féministes s’expriment » (Éditions de la Villette, 2022).

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Margaux Darrieus

Questionner les pratiques en architecture

Margaux Darrieus est enseignante à Paris-Malaquais et à l’ENSA Bretagne, et membre des laboratoires ACS UMR AUSser 3329 et Grief. Elle est aussi journaliste pour la revue AMC.

C’est dans ces multiples lieux qu’elle déploie son activité de critique d’architecture, pour interroger les manières d’être et de faire des architectes, en prise avec les enjeux socio-environnementaux contemporains.

Margaux Darrieus est lauréate des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) 2023 mention “Autres voies de l’architecture” au titre de la critique d’architecture.

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Sophie Delhay

Le « vivre ensemble » comme levier

Diplômée de l’ENSAP Lille, Sophie Delhay crée sa propre agence en 2010. Celle-ci est dévolue exclusivement à la question de l’habitat et expérimente la manière dont l’architecture peut participer à l’évolution de la société et du climat.

Sophie Delhay défend une conception de l’habitat où les échanges sont pensés à plusieurs échelles : à l’échelle du bâtiment où des espaces partagés sont proposés ; et à l’échelle du logement où plusieurs possibilités de rencontres sont pensées.

Centrés sur les usages, ses projets font du « vivre ensemble » un préalable à partir duquel le paysage, la ville et l’architecture peuvent prendre forme. Plus qu’un objectif, cette communauté d’usage devient la condition d’une écologie aussi bien sociale qu’environnementale. En témoignent le projet « Unité(s) », récompensé par le prix de l’Équerre d’argent 2019 dans la catégorie « habitat », et le prix Schelling attribué à son agence en octobre 2022 pour son travail théorique.

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Samia Henni

L'his­to­rienne des envi­ron­ne­ments cons­truits, détruits et ima­gi­nés

Docteure en histoire et théorie de l’architecture (École polytechnique fédérale de Zurich – ETH), Samia Henni est architecte, historienne et théoricienne de l’architecture.

Elle travaille au carrefour de l’architecture, de l’aménagement du territoire et de l’étude des pratiques coloniales et des opérations militaires du début du XIXe siècle jusqu’à nos jours.

Samia Henni est actuellement enseignante et chercheuse en histoire et théorie de l’architecture et de l’urbanisme au département d’architecture de l’université de Cornell aux États-Unis. Elle est l’autrice de l’ouvrage primé « L’archi­tec­ture de la contre-révo­lu­tion : L’armée fran­çaise dans le nord de l’Algérie » (Éditions B42, 2019, FR ; gta Verlag, 2017, EN), l’éditrice de « Deserts are not Empty » (Columbia Books on Architecture and the City, 2022) et de « War Zones gta papers no. 2 » (gta Verlag, 2018).

Elle a inau­guré en 2021 la chaire Albert Hirschman à l’Institut d’études avan­cées d’Aix-Marseille Université (IMéRA).

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Anne Lacaton

Transformer l'existant

Anne Lacaton compte parmi les architectes les plus talentueuses de sa génération. Elle travaille avec Jean-Philippe Vassal avec lequel elle a fondé l’agence lacaton & vassal.

Anne Lacaton revendique une architecture non standardisée, économique et généreuse, ouverte à la liberté et aux transformations futures des utilisateurs. Sensible à la valeur et à l’âme d’un lieu, elle travaille souvent à partir de l’architecture existante, pour la conserver, la mettre en valeur et la transformer, comme dans le cas du Palais de Tokyo, que son agence a réhabilité en 2001 puis en 2012.

Elle est lauréate, avec Jean-Philippe Vassal, de nombreux prix nationaux et internationaux parmi lesquels : en 2018, le Global Award for Sustainable Architecture qui récompense sa démarche durable de valorisation du bâti, favorisant l’appropriabilité par les habitants ; en 2019, le Prix Européen d’architecture Mies van der Rohe ; et en 2021, le prix Pritzker pour l’ensemble de sa carrière.

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Lucie Niney

Une architecture poétique et domestique

Diplômée de l’ENSA Paris-Villette, Lucie Niney est, avec l’agence NeM (Niney et Marca Architectes), qu’elle a fondée en 2010, l’une des architectes à l’origine de la transformation de Bourse de la Commerce-Pinault Collection, avec Tadao Ando.

L’architecture de Lucie Niney est à l’écoute des territoires et de leurs habitants, elle prend en compte leur économie, leurs ressources naturelles. Centrée sur l’habilité des espaces de vie, elle cherche à débusquer l’esprit en chaque lieu et s’appréhende comme la recherche d’un minimalisme formel affranchi de toute surenchère technique et se réalisant dans un usage direct des matériaux.

L’agence de Lucie Niney a reçu le prix Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) 2014.

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Charlotte Perriand

Une femme libre et anticonformiste

Charlotte Perriand (1903-1999) est architecte, designer, commissaire d’exposition, architecte d’intérieur photographe et théoricienne de l’art.

Créatrice visionnaire, femme libre, indépendante et anticonformiste, elle est l’une des figures incontournables de l’architecture et du design du XXe siècle. Ses meubles révolutionnaires sont devenus des icônes. Et elle a participé à la création et au développement de la station Les Arcs, projet auquel est a consacré plus de 20 ans de sa vie.

Charlotte Perriand a repensé les expressions culturelles et artistiques afin de créer un nouveau rapport entre les arts (architecture, peinture, sculpture, etc.), entre les cultures du monde (Asie, Amérique Latine, Brésil etc.) et entre les mouvements de la société.

Femme engagée, elle s’est intéressée aux enjeux de son temps liés aux logements, aux équipements collectifs et aux nécessités fonctionnelles de l’habitat. Féministe avant l’heure, elle a tenté de faire évoluer le rôle de la femme à travers ses créations.

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Samira Rathod

Faire la différence entre besoins et désirs

Indienne diplômée du College of Architecture de Mumbai, Samira Rathod exerce comme architecte, designer de mobilier, écrivaine et enseignante. Elle est directrice de l’agence Samira Rathod Design Associates.

Samira Rathod oeuvre en faveur d’une architecture à dimension locale et s’appuyant sur le recyclage. Les peuples indigènes, leurs techniques et traditions cultivées et leur maîtrise ancestrale de la tectonique des matériaux sont au cœur de l’exécution et de l’inspiration des projets de son agence.

Selon Samira Rathod, la conception doit être consciente de la différence entre les besoins et les désirs, qu’elle doit aborder de la manière la plus responsable.

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Lilly Reich

L'architecte du Bauhaus

Lilly Reich (1885-1947) est une designer, architecte d’intérieur et artiste textile allemande rattachée au mouvement moderne.

Sa réputation d’architecte et d’artiste est déjà bien établie lorsque débute sa relation, qui durera une dizaine d’années, avec Ludwig Mies van der Rohe. Ensemble, ils travailleront sur de nombreux projets : Villa Tugendhat à Brno, Villas Lange et Esters à Krefeld, Exposition internationale de 1929 à Barcelone, etc. Lilly Reich a également dirigé les ateliers de tissage de l’école du Bauhaus.

Sa relation avec Ludwig Mies van der Rohe occultera pendant plusieurs décennies l’importance de son travail et de ses créations individuelles.

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Denise Scott-Brown

Denise Scott Brown est une architecte, urbaniste, écrivain et enseignante américaine, directrice de l’agence Venturi, Scott Brown and Associates (VSBA) à Philadelphie. Avec son mari Robert Venturi, elle est considérée comme l’une des architectes les plus influentes du XXe siècle, tant par son architecture que par ses écrits théoriques. Ensemble, ils ont défini le mouvement postmoderne et apporté un design d’avant-garde aux banlieues et aux campus universitaires américains.

En 1972, Denise Scott Brown co-signe Learning from Las Vegas : the Forgotten Symbolism of Architectural Form. L’ouvrage, qui fait l’apologie de paysage commercial des bords de route américains et la critique des dogmes du Mouvement moderne en architecture, sera traduit en 18 langues.

En 1989, elle publie le célèbre essai intitulé Room at the top ? Sexism and the Star System in Architecture, dans lequel elle décrit sa lutte pour être reconnue comme une partenaire à part entière du cabinet, dans un monde de l’architecture majoritairement masculin. Depuis, elle défend la cause des femmes dans l’architecture et s’est exprimée à plusieurs reprises sur la discrimination au sein de la profession.

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Kazuyo Sejima

Une architecte multi-primée

Architecte japonaise diplômée de la Nihon joshi daigaku à Tokyo, Kazuyo Sejima est à la tête de l’agence d’architecture SANAA.

Elle développe une architecture très pure, ascétique, accordant un grand soin du détail, et qui se veut une réinterprétation japonaise de la modernité. L’agence SANAA porte une attention particulière aux espaces incitant la communication entre les utilisateurs.

Kazuyo Sejima a remporté de nombreux prix, notamment le Lion d’or de la biennale d’architecture de Venise 2004 pour le musée d’art contemporain de Kanazawa, le prix Pritzker 2010, ou encore le prix de l’Équerre d’argent 2013 pour le Louvre-Lens.

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Odile Seyler

A l'écoute de la villes et des territoires

Odile Seyler est architecte-urbaniste associée au sein du cabinet Seyler & Lucan, structure engagée dans la relation de l’architecture à la ville et aux territoires, avec un regard particulier à l’histoire.

Elle a développé un travail de recherche et d’investigation intellectuelle, en liaison avec son activité d’enseignante. Ce travail a mené à la publication de nombreux livres, parmi lesquels « Composition, Non-composition – Architecture et théories, XIXe -XXe siècles » (2009) et « Où va la ville aujourd’hui ? Formes urbaines et mixités » (2012).

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Clara Simay

L'engagement écologique et solidaire

Diplômée de l’ENSA Paris-Belleville, Clara Simay est architecte, fondatrice et cogérante de la coopérative Grand Huit, qui rassemble des architectes, des paysagistes et des chercheurs de l’urbain pour concevoir des lieux de vie innovants, écologiques et solidaires.

Son activité, marquée par l’engagement écologique et le sens de l’utilité sociale, s’inscrit pleinement dans le champ de l’Économie Sociale et Solidaire tout comme dans celui de l’économie circulaire.

Elle est la lauréate de l’appel à projets « Réinventer Paris » pour la conception de la Ferme du Rail en 2016.

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