"La cité de demain : architecture du modernisme soviétique" - Ruben Arevshatyan (conférence WE à l'Est)
25 Nov 2024
Dans le cadre du festival Un week-end à l'Est
Lundi 25 novembre
18h00
École d’architecture Paris-Malaquais
14 rue Bonaparte – Paris VIe
Amphithéâtre 2 des Loges
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Conférence en anglais
Une conférence du festival Week-end à l’Est, organisée en partenariat avec l’École d’architecture Paris-Malaquais
Au cours des vingt dernières années, l’architecture moderniste soviétique a suscité un intérêt croissant à l’international. Détachées du récit historique occidental après la Guerre froide, les recherches sur le modernisme soviétique ont approfondi l’exploration de ce patrimoine architectural unique. Cependant, la deuxième guerre du Haut-Karabakh et la guerre en Ukraine ont rompu la mémoire collective des anciennes sociétés soviétiques. Elles ont interrompu la dynamique des recherches, expositions et initiatives de protection.
Pour en parler, Ruben Arevshatyan, artiste et commissaire d’exposition, basé à Erevan, président de l’AICA-Arménie et directeur du studio de pratiques artistiques à l’Institut d’Art Contemporain d’Erevan.
Discussion animée par Georgi Stanishev, architecte, scénographe, enseignant à l’École d’architecture Paris-Malaquais.
Dans le cadre du festival Un week-end à l’Est, Paris-Malaquais accueille également l’exposition « Et les frontières deviennent des ponts » à la Galerie de l’école. > En savoir plus sur cette exposition
> Le site du festival Un week-end à l’Est
Lundi 25 novembre
18h00
École d’architecture Paris-Malaquais
14 rue Bonaparte – Paris VIe
Amphithéâtre 2 des Loges
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Conférence en anglais
Une conférence du festival Week-end à l’Est, organisée en partenariat avec l’École d’architecture Paris-Malaquais
Au cours des vingt dernières années, l’architecture moderniste soviétique a suscité un intérêt croissant à l’international. Détachées du récit historique occidental après la Guerre froide, les recherches sur le modernisme soviétique ont approfondi l’exploration de ce patrimoine architectural unique. Cependant, la deuxième guerre du Haut-Karabakh et la guerre en Ukraine ont rompu la mémoire collective des anciennes sociétés soviétiques. Elles ont interrompu la dynamique des recherches, expositions et initiatives de protection.
Pour en parler, Ruben Arevshatyan, artiste et commissaire d’exposition, basé à Erevan, président de l’AICA-Arménie et directeur du studio de pratiques artistiques à l’Institut d’Art Contemporain d’Erevan.
Discussion animée par Georgi Stanishev, architecte, scénographe, enseignant à l’École d’architecture Paris-Malaquais.
