"Tropicalisation !" - Conférence de Dominique Gonzalez Foerster
27 Nov 2024 |
Dans le cadre de "L'entour", enseignement scénographie d'exposition commun à l‘Ecole d’architecture Paris-Malaquais, aux Beaux-Arts de Paris, au Pavillon Bosio de Monaco, à l'Ecole des Arts Décoratifs de Paris et au Centre Pompidou .
Mercredi 27 novembre 2024
de 10h à 12h
Entrée libre dans la limite des places disponibles :
Amphithéâtre 1 des Loges
14 rue Bonaparte – Paris VIe
*
Cet événement a été préparé par Alexis Bertrand, enseignant aux Beaux-Arts de Paris. Il est organisé dans le cadre de l’enseignement de master « L’entour », consacré à l’histoire et à la technique de la scénographie d’exposition, encadré par Yann Rocher (École d’architecture Paris-Malaquais) et Thierry Leviez (Pavillon Bosio). Cet enseignement est commun à l’École d’architecture Paris-Malaquais, aux Beaux-Arts de Paris, au Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de Monaco, à l’École des Arts Décoratifs de Paris et au Centre Pompidou.
La conférence permettra un retour sur plusieurs expositions personnelles réalisées entre 1999 et 2022 à travers des images, des plans, des souvenirs et des obsessions. Il sera question de tropicalisation, d’immaturité, d’architecture, de pluie, de dystopie et d’expérimentation.
*
Artiste expérimentale basée à Paris, Dominique Gonzalez Foerster explore, depuis les années 80, les modalités des relations sensorielles et cognitives entre les corps et les lieux, réels ou de fiction, jusqu’à interroger la distance entre la vie organique et l’œuvre. Métabolisant références littéraires et cinématographiques, architecturales et musicales, scientifiques ou pop, elle crée des « chambres » et des « intérieurs », des « jardins », des « attractions » et des « planètes ». À travers des multiples expositions internationales, films courts, mises en scènes et concerts, l’œuvre mutante de Dominique Gonzalez Foerster participe à l’invention des nouvelles technologies de la conscience. Elle est lauréate du Prix Marcel Duchamp en 2002 et reçoit également le Prix Mies van der Rohe en 1996-1997.
Son œuvre a fait l’objet d’expositions personnelles à la Pinacoteca Agnelli, Turin (2023) ; Serpentine, Londres (2022) ; Sécession, Vienne (2021) ; l’Academy of Media Arts Cologne, Cologne (2019) ; MAAT, Lisbonne (2016) ; Musée National d’Art Moderne, Paris (2015) ; Museum of Modern Art, Rio de Janeiro (2015) ; Nacional Centro De Arte Reina Sofia, Palacio De Cristal, Madrid (2014) ; Stedelijk Museum, Amsterdam (2013) ; Kunsthalle Zürich, Zürich (2012) ; Tate Modern, Londres (2010) ; Dia Art Foundation, New York (2009) ; Musée d’Art Moderne de Paris, Paris (2007) ; deSingel, Anvers (2004) ; Museum Boijmans Van Beuningen, Rotterdam (2003) ; Contemporary Arts Center, Cincinnati (2001) ; Le Consortium, Dijon (2001) ; MAMCO, Genève (2000) ; Malmö (1996)…
Mercredi 27 novembre 2024
de 10h à 12h
Entrée libre dans la limite des places disponibles :
Amphithéâtre 1 des Loges
14 rue Bonaparte – Paris VIe
*
Cet événement a été préparé par Alexis Bertrand, enseignant aux Beaux-Arts de Paris. Il est organisé dans le cadre de l’enseignement de master « L’entour », consacré à l’histoire et à la technique de la scénographie d’exposition, encadré par Yann Rocher (École d’architecture Paris-Malaquais) et Thierry Leviez (Pavillon Bosio). Cet enseignement est commun à l’École d’architecture Paris-Malaquais, aux Beaux-Arts de Paris, au Pavillon Bosio – École supérieure d’arts plastiques de Monaco, à l’École des Arts Décoratifs de Paris et au Centre Pompidou.
La conférence permettra un retour sur plusieurs expositions personnelles réalisées entre 1999 et 2022 à travers des images, des plans, des souvenirs et des obsessions. Il sera question de tropicalisation, d’immaturité, d’architecture, de pluie, de dystopie et d’expérimentation.
*
Artiste expérimentale basée à Paris, Dominique Gonzalez Foerster explore, depuis les années 80, les modalités des relations sensorielles et cognitives entre les corps et les lieux, réels ou de fiction, jusqu’à interroger la distance entre la vie organique et l’œuvre. Métabolisant références littéraires et cinématographiques, architecturales et musicales, scientifiques ou pop, elle crée des « chambres » et des « intérieurs », des « jardins », des « attractions » et des « planètes ». À travers des multiples expositions internationales, films courts, mises en scènes et concerts, l’œuvre mutante de Dominique Gonzalez Foerster participe à l’invention des nouvelles technologies de la conscience. Elle est lauréate du Prix Marcel Duchamp en 2002 et reçoit également le Prix Mies van der Rohe en 1996-1997.
Son œuvre a fait l’objet d’expositions personnelles à la Pinacoteca Agnelli, Turin (2023) ; Serpentine, Londres (2022) ; Sécession, Vienne (2021) ; l’Academy of Media Arts Cologne, Cologne (2019) ; MAAT, Lisbonne (2016) ; Musée National d’Art Moderne, Paris (2015) ; Museum of Modern Art, Rio de Janeiro (2015) ; Nacional Centro De Arte Reina Sofia, Palacio De Cristal, Madrid (2014) ; Stedelijk Museum, Amsterdam (2013) ; Kunsthalle Zürich, Zürich (2012) ; Tate Modern, Londres (2010) ; Dia Art Foundation, New York (2009) ; Musée d’Art Moderne de Paris, Paris (2007) ; deSingel, Anvers (2004) ; Museum Boijmans Van Beuningen, Rotterdam (2003) ; Contemporary Arts Center, Cincinnati (2001) ; Le Consortium, Dijon (2001) ; MAMCO, Genève (2000) ; Malmö (1996)…
