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Le seuil, promenade habitée

Auteur(s)

Lisa Maria Croce

Enseignant(s)

Jean-Pierre Pranlas-Descours, Jean Leonard

Département

PASS

Enseignement

PFE

Cycle - Année

Cycle 2 - Année 5

Résumé

Les villes d’aujourd’hui, notamment New York, ont un parcours induit par les limites physiques qui structurent la ville. Elles s’inscrivent dans un même schéma forçant une lecture horizontale du territoire. La circulation piétonne résulte en effet d’une limitation forte entre l’espace du rez-de-chaussée et les étages. La circulation horizontale au rez-de-chaussée est définie par un ensemble d’espaces à accès public. Dès lors qu’il y a accès aux étages, le piéton se retrouve dans l’espace privé sans aucune transition, en raison de l’existence d’une limite physique nette entre l’espace public de circulation et l’espace d’habitation. Une fois, franchie la porte d’entrée, l’on se retrouve directement dans la zone habitée. 2 circulations: -horizontale et publique -verticale et privée « Nous vivons depuis toujours sur le même schéma élémentaire. Dissociation de deux fonctions de base de la dynamique urbaine : circuler et habiter. Rassemblement horizontal des espaces habitables suivant le mode de la juxtaposition » * *P. 11 , Claude Parent, Vivre à l’oblique, 1970 Ces deux circulations, horizontale et verticale, sont toutes deux induites par un schéma routinier. En effet, la circulation à Manhattan est très fortement dépendante de l’automobile. La place de la voiture étant prépondérante et le zoning très dense, il reste peu d’espaces libres pour le piéton. Ce dernier voit son déplacement limité aux trottoirs piétons qui offrent les éléments propices à sa routine « métro-boulot-dodo ». Le désir du projet est de continuer la promenade urbaine pour l’amener vers une promenade architecturale. Plus précisément, le projet s’articule à travers une promenade architecturale, vectrice d’espaces urbains de qualité sensés redonner sa place au piéton. LE SEUIL, UNE PROMENADE HABITEE, propose ainsi d’interroger la circulation piétonne, la déambulation en ville, à travers une circulation induite, non pas par la routine, mais par la notion de plaisir dans le parcours volontaire. Le projet traite ainsi la problématique de la continuité de la ville aujourd’hui, en tentant d’estomper la limite entre l’espace de circulation et l’espace de vie. Le projet traite ainsi la problématique de la continuité de la ville aujourd’hui en tentant d’estomper la limite entre l’espace de circulation et l’espace de vie.

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