2021
Auteur(s)
Zoé Lefèvre
Enseignant(s)
Dimitra Kanellopoulou, Marc Armengaud
Département
Mondes en mutation
Il y a un aspect ‘‘programmatique’’ dans ce titre, une idée maximaliste qui traverse ce projet.
C’est a priori une proposition très chorégraphique dans laquelle se pose la question des limites du geste architectural, de son inscription spatiale et de son inscription dans le temps. Il est possible que tous les gestes ne s’inscrivent pas systématiquement à la même vitesse, que certains soient très rapides et d’autres plus lents sur un horizon proche ou lointain. Mais globalement, il s’agit d’une occupation immédiate de la Porte de la Villette sur une période de 30 ans. Dans ce projet, il semble important de considérer la question rythmique comme un moyen de défendre la possibilité de construire un espace commun capable d’accueillir les différences individuelles et collectives. Ainsi, cette question du rythme ouvre sur une réflexion de projet hybride et polyrythmique. Une partie de la réflexion du projet consiste à discuter de la manière dont le temps – qu’il soit quotidien, hebdomadaire, mensuel ou annuel – et l’espace se rencontrent, s’articulent et se pensent en termes d’espace-temps pour chaque fragment.
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