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À l’ENSA Paris-Malaquais – Année universitaire 2021-2022

Année universitaire 2021-2022

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Recherche : mur "biodiversitaire", l'expérience portée à la la Biennale d'architecture et de paysage

Delphine Lewandowski, doctorante à l’école, mène depuis 2019 une thèse en Cifre (convention industrielle de formation par la recherche) dans l’agence d’architecture ChartierDalix. Sa thèse est dirigée par Rob …

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Delphine Lewandowski, doctorante à l’école, mène depuis 2019 une thèse en Cifre (convention industrielle de formation par la recherche) dans l’agence d’architecture ChartierDalix. Sa thèse est dirigée par Robert Le Roy, au sein du laboratoire GSA à l’école, et co-dirigée par Philippe Clergeau (CESCO, Muséum national d’Histoire naturelle), avec le suivi de Sophie Deramond pour l’agence ChartierDalix. Au sein du pôle recherche de l’agence, Delphine a créé un pavillon, sur le site du Muséum national d’Histoire naturelle, qui présente six prototypes de mur « biodiversitaire » maçonnés en briques pleines, briques Monomur et pierre sèche. Elle met en place et assure le suivi de protocoles expérimentaux permettant d’étudier le fonctionnement du système tant au niveau écologique que pour l’analyse structurelle des matériaux utilisés. Ce travail a été à l’origine de l’expérience portée par l’agence ChartierDalix pour la métropole du Grand Paris dans le cadre de la Biennale d’architecture et de paysage, à Versailles de mai à juillet 2022.

Un stage chez Renzo Piano en cartes postales

Thierry Gédéon, étudiant en M2 à l’école, nous envoie des nouvelles de son stage à l’agence parisienne Renzo Piano Building Workshop (RPBW). Le partenariat de l’ENSA Paris-Malaquais avec la Fondation Renzo Pi …

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Thierry Gédéon, étudiant en M2 à l’école, nous envoie des nouvelles de son stage à l’agence parisienne Renzo Piano Building Workshop (RPBW). Le partenariat de l’ENSA Paris-Malaquais avec la Fondation Renzo Piano offre chaque année, depuis 2008, à un étudiant en master la possibilité d’effectuer un stage de 6 mois gratifié d’une bourse d’excellence de 8 500 €. Ce stage s’effectue habituellement à l’agence RPBW italienne de Gênes. Il a lieu cette année exceptionnellement à Paris, où Thierry Gédéon a intégré l’agence en février. Découvrez les impressions de ses premiers mois en attendant les prochaines cartes postales !

Cliquez sur les images pour lire les cartes :

Lundi 07/02/2022
A la chasse au soleil !

Mercredi 03/03/2022
Maquettes & Sushi bar

Jeudi 12/05/2022
Station : Rue des Archives
Direction : Chamonix

Par ailleurs Jean-Baptiste de Froment, directeur de l’école, a visité en juin l’agence RPBW parisienne : « Je suis heureux et honoré d’avoir été reçu par Renzo Piano dans son extraordinaire agence parisienne de la rue des Archives. L’École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais bénéficie depuis longtemps d’un partenariat avec la fondation Renzo Piano qui est appelé, je l’espère, à s’approfondir. Merci à Maria Salerno, enseignante dans notre école et collaboratrice historique de Renzo, pour son rôle décisif dans cette collaboration. »

Sur la photo de groupe ci-dessus :

  • Thierry Gédéon, stagiaire lauréat de la bourse de la fondation Renzo Piano
  • Maria Salerno, enseignante à l’ENSA Paris-Malaquais, collaboratrice historique de Renzo Piano, à l’initiative du partenariat avec l’école
  • Jean-Baptiste de Froment, directeur de l’ENSA Paris-Malaquais
  • Renzo Piano
  • Milly Rossato-Piano, directrice de la Fondation Renzo Piano

"Matières à penser / Au commencement est la relation" - Phase 2 "Le Théâtre..." - P2, licence

Programme : Le programme est celui d’un petit théâtre expérimental. Le caractère expérimental pouvait s’exprimer sur le registre architectural, et viser tout ce qui touche au théâtral, au spectacle, à la fict …

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Programme : Le programme est celui d’un petit théâtre expérimental. Le caractère expérimental pouvait s’exprimer sur le registre architectural, et viser tout ce qui touche au théâtral, au spectacle, à la fiction, … c’est‑à‑dire à l’apparence, aux usages, aux modalités d’accès des différents usagers, aux parcours, aux notions de limites, de passages, de seuils (à vocation initiatique), aux rapports scène-salle, à la notion de dispositifs, aux jeux de regards, de caché-montré, de lieux habituellement non montrés, à  la poly­‑fonctionnalité, etc.. Ce programme a été nommé Le théâtre …, ou Théâtre 3 petits points, pour suggérer la non-réduction autour d’un intitulé déterminé et clos.

Protocole et contraintes : cet exercice s’inscrivait dans la continuité de l’initiation à la transposition à partir de systèmes symbiotiques expérimentée lors du premier exercice du Masque-habitacle et devait répondre par ordre d’importance décroissant aux quatre contraintes suivantes :

  1. Ce projet doit lui-même être pensé comme un projet symbiotique, c’est‑à‑dire comme coexistence de 2 intentionnalités de projet possiblement très différentes, voire contraires, et qui malgré cette altérité ne nuisent pas l’une à l’autre, mais au contraire, par la surimpression (association ou intrication) de leurs différences, contribuent à problématiser la démarche de conception, et à singulariser et qualifier ce projet.
  2. Ce projet doit mettre en œuvre de manière significative, c’est‑à‑dire qui a une conséquence sur l’architecture, les atmosphères, les usages, les rapports intérieur-extérieur, l’apparence diurne ou nocturne, etc.. au moins 2 matériaux présentés en cours et lors de la visite de l’innovathèque-matériauthèque.
  3. Ce projet doit/peut reprendre des éléments présents dans votre système symbiotique.
  4. Ce projet doit/peut reprendre des éléments présents dans votre masque-habitacle.

Attentes  & critères d’appréciation : il était attendu que le projet – en étant imaginatif, poétique, expérimental, beau, inédit, étrange, … – investisse de manière qualitative les quatre registres suivants :

  • la spatialité (et les atmosphères)
  • les usages
  • les matériaux
  • la conceptualité ou problématisation

Contexte : chaque étudiant devait définir son environnement immédiat, une topographie, éventuellement une nature de sol, la présence éventuelle de constituant naturels particuliers, prendre en compte l’orientation solaire, etc.

Enseignant responsable : Jean-Pierre Vallier


Immersion dans la matière chantier - une investigation au sein du projet de réaménagement de l’école - D4, licence

Présentation de leur travail par les étudiant·e·s : “Vous avez certainement vu les ouvriers qui circulent dans l’école (sur le site des Beaux-Arts de Paris et de l’ENSA Paris-Malaquais), contourné des esp …

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Présentation de leur travail par les étudiant·e·s :

“Vous avez certainement vu les ouvriers qui circulent dans l’école (sur le site des Beaux-Arts de Paris et de l’ENSA Paris-Malaquais), contourné des espaces fermés par des barrières et entendu les bruits de démolition. Il n’est cependant pas certain que vous sachiez exactement ce qui se joue au sein de ces écoles. Nous, étudiant·e·s du développement « Immersion dans la matière chantier », avons ouvert les portes du chantier. Nous avons vu, nous avons entendu et nous avons collecté pendant ce semestre des témoignages du chantier par l’image, le son et la matière.
Nous avons construit une méthode de documentation, scientifique et sensible, afin de constituer une archive du chantier composée d’interprétations sonores, visuelles ou graphiques, de documents descriptifs et didactiques, d’objets et installations à manipuler ou encore d’une scénographie construite avec les rebus du chantier.
Cette restitution donne un aperçu de la complexité d’un chantier dans une école en activité. Il s’agit de mettre en évidence les rapports entre la population de l’école et le chantier, de montrer les gestes d’une construction hyperprésente mais peu visible, d’être témoins de la progression du calendrier de chantier, de regarder ce qui se dévoile pour comprendre un état existant, afin de mieux saisir l’état futur…”

Développement de licence 2, sous la responsabilité de Pierre David, Pietro Mariat et Pierre Bertin.

Cliquez sur l’image pour découvrir le travail photographique réalisé par l’un des groupes d’étudiant·e·s :

Vidéo réalisée par l’un des groupes d’étudiant·e·s :

Immersion dans la matière chantier - une investigation au sein du projet de réaménagement de l’ENSA Paris-Malaquais


Filmer l’architecture de la santé - édition 2022

D4, licence

Découvrez les vidéos produites par les étudiantes et étudiants de licence 2 du développement « Filmer l’architecture de la santé » à l’issue de leur travail au sein de six établissements de santé francilie …

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D4, licence

Découvrez les vidéos produites par les étudiantes et étudiants de licence 2 du développement « Filmer l’architecture de la santé » à l’issue de leur travail au sein de six établissements de santé franciliens. Ces vidéos donnent à voir leur regard personnel sur l’architecture de ces lieux.S’appuyant sur la visite de ces établissements et la découverte de leur histoire, sur des entretiens avec leurs architectes ou des personnes qui y travaillent ou y séjournent, imaginant des transformations de ces lieux en fonction de ces échanges ou des fictions à partir d’une culture architecturale et cinématographique, les étudiantes et étudiants ont réussi à se forger un regard critique, à comprendre comment une architecture de la santé naît de règles et de normes spécifiques et à concevoir des espaces qui répondent aux besoins des utilisateurs.

Cet enseignement s’inscrit dans le cadre d’une collaboration avec l’Agence régionale de santé (ARS), la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) d’Île-de-France (qui délivrent le label « Culture et Santé en Île-de-France » à des établissements de santé de la région investis dans la mise en œuvre d’une politique artistique et culturelle).

Les étudiantes et étudiants, leur enseignante et leur enseignant remercient chaleureusement tous leurs partenaires et les référentes et référents au sein des établissements de santé qui contribuent chaque année à rendre cet enseignement exceptionnel par la qualité de leur implication et de leur accueil au sein de ces structures.

Cliquez sur les images pour visionner les vidéos

Centre Robert Doisneau
« Carnaval »

Centre Hospitalier de Bligny

Centre Hospitalier Théophile Roussel
« Frontières du passé »

ECRP Beauvoir
« Le château où il fait beau voir »

Ehpad Cachan Méricourt
« À bout de course »

EPS Etampes Barthélémy Durand
« Parfois la vie est douce »

Témoignage de Mehdi IDIR, Conseiller action culturelle et territoriale à la DRAC Ile-de-France :« Depuis 2016, le programme régional Culture & Santé en Île-de-France a permis la mise en place et le développement d’actions de sensibilisation en désignant deux cibles : les personnels de santé et les jeunes artistes en formation dans les écoles supérieures.Ont pu ainsi être mis en place des partenariats « sur mesure » avec l’ENSBA de Paris, le CNSMD de Paris et depuis quatre années, l’École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais qui propose aux étudiantes et étudiants des temps d’immersion dans les établissements de santé recevant le Label Culture & Santé en Île-de-France les récompensant pour la structuration d’une politique culturelle.Révéler et filmer l’architecture de la santé a, depuis l’origine, surtout été l’occasion de créer des espaces de rencontre et de médiation profitables à toutes les parties : ouvrir, s’ouvrir, regarder en soi et plus loin, faire le récit des espaces, c’est toujours être dans l’intime comme l’universel, dans le partage.L’air de rien, cette action a un ultime bénéfice : constituer peu à peu une collection francilienne de vidéos sur des lieux de soin, leur histoire et l’humanité qui les habite. »

Le groupe :

Enseignante et enseignant responsables : Anne-Lise Seusse et Mehdi Zannad

Étudiantes et étudiants : Sandrine Bovet, Zaineb Chebil, Sourya Diarra, Cassandre Esurmont, Loreen Falaise, Romane Fauzic, Naomi Fonseca, Antoine Heyraud, Ines Kouachi, Dan Ko-Yapende, Adèle Laurent, Maud Lhuissier, Antoine Ludwinski, Usman Malik, Dora Mourali, Juliette Payerne, Inès Petit, Beatriz Rosim de Sousa, Elena Roux, Mariana Santamaria Lenus, Esraa Soliuman, Shérazade Zitouni.


Leçon à échelle 1 sur le chantier de l'Ilot A2 du Village Olympique - P4, licence

Dans le cadre du studio de P4, plusieurs groupes d’étudiant·e·s ont été accueillis le vendredi 10 juin sur un chantier de l’agence de Gaëtan Le Penhuel à Saint-Denis : la construction de l’Ilot A …

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Dans le cadre du studio de P4, plusieurs groupes d’étudiant·e·s ont été accueillis le vendredi 10 juin sur un chantier de l’agence de Gaëtan Le Penhuel à Saint-Denis : la construction de l’Ilot A2 du Village Olympique des JO 2024 . João Saleiro, architecte de l’agence, a organisé et conduit la visite qui a enthousiasmé les étudiants. L’îlot A2 regroupe les projets de trois agences : Gaëtan Le Penhuel, Lina Ghotmeh, Pascal Gontier.
En cette fin de semestre le chantier a été une leçon à échelle 1 qui a permis aux étudiant·e·s de mener une réflexion par rapport à leurs projets pour leur donner un nouvel élan.

Enseignant·e·s responsables de ces groupes de P4 : Catherine Clarisse, Gaëtan Le Penhuel et Maria Salerno.

Photos par João Saleiro et les enseignant·e·s et étudiant·e·s des groupes.


"Le Devenir de l’eau", retour sur une semaine de résidence au bord de la Creuse - P6, licence

Dans le cadre du voyage d’études de ce studio de projet, le groupe de licence 3 est parti passer une semaine dans la Creuse au mois de mai. Les étudiant·e·s ont été accueillis au centre culturel le Métive, un an …

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Dans le cadre du voyage d’études de ce studio de projet, le groupe de licence 3 est parti passer une semaine dans la Creuse au mois de mai. Les étudiant·e·s ont été accueillis au centre culturel le Métive, un ancien moulin sur la Creuse où ils ont créé des installations et performances questionnant le milieu, en collaboration avec les artistes et acteurs locaux. Pour le plus grand bonheur de tous, le groupe a eu le privilège de visiter le jardin de Gilles Clément, jardinier-paysagiste.

Alix Riverault, l’une des étudiants du groupe livre ses impressions sur ce voyage :

« Pourquoi passer une semaine à la Métive, dans la diagonale du vide de France en tant qu’étudiant(e) en Architecture ?
En étant sur place, je comprends l’importance de ce séjour.
Observer, s’imprégner, écouter. Nos civilisations, nos vies sont marquées dans un territoire. Les éléments constituant la nature découlent dans ces lieux ruraux. Ici on prend conscience des cycles de montée des eaux, des saisons grâce à la flore, de la culture et des traditions, de l’agriculture et de la gestion des terres.
Les sources de pollution des rivières nous touchent directement ici. Le rythme de la vie, où Tout et Rien ne se passe en même temps.
Loin des métropoles et de leurs lieux culturels riches en savoirs et en histoire pour notre enseignement, loin des grands architectes et de leurs plus grandes architectures, c’est pourtant ici que nous apprenons.  D’abord la diversité des végétaux, insectes et animaux présents et vivants ici. Puis, petit à petit, on refait le lien… on apprend un fait sur ce qu’on voit devant nos yeux, d’où cela vient, pourquoi il est là, comment le reconnaître, les choses s’entremêlent. »

Enseignante responsable : Susan Dunne


"The Rock, San Francisco" : semestre avec "Les Furtifs" et jury avec Alain Damasio - P6, licence

Nicolas Gilsoul présente son studio de projet de P6 : “Partir du roman d’Alain Damasio – Les Furtifs – invite à révéler le déjà-là, à poser l’architecture comme un affût, à se fond …

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Nicolas Gilsoul présente son studio de projet de P6 :

“Partir du roman d’Alain Damasio – Les Furtifs – invite à révéler le déjà-là, à poser l’architecture comme un affût, à se fondre avec la roche et le lichen du lieu. Et le lieu n’est pas innocent, l’île d’Alcatraz est chargée d’histoires, celles des hommes et celles des bêtes qu’elle continue d’abriter. Poursuivre l’univers de Damasio en furtivant l’architecture ou en architecturant les furtifs s’inscrit dans le cours d’une pensée sur le Vivant où l’architecture refuse la page blanche. L’architecte ici se sert de la fiction et des êtres locaux en équilibre fragile pour composer, inventer des espaces extra-ordinaires, des milieux hybrides, une école des furtifs. Chaque projet interroge des sujets contemporains: la cohabitation avec d’autres vivants, la connaissance du milieu comme pédagogie universelle, la société ultracapitaliste, le vertige, le frisson, le contrôle par l’image, la coexistence. Les étudiant·e·s ont démarré le studio en immersion dans une réserve naturelle ornithologique pour faire l’expérience de l’affût et de la furtivité animale. Treize semaines plus tard, ils ont conclu brillamment l’expérience sous l’œil complice et passionné d’Alain Damasio en personne, venu furtivement entre nos murs tester leurs dispositifs architecturaux.”

Synopsis des travaux illustrés ci-dessus :

  • École des Frissons. Imaginer une école pour s’initier aux murmures du monde, aux sons si infimes du vivant qu’ils nous échappent, aux vibrations des furtifs décrits par Alain Damasio. Dessiner des architectures comme des instruments de musiques immersifs, des espaces sensibles réunissant l’homme et le lion de mer, le passereau et le ver de terre
    Sophie Boeri, Lana Rabie, Juliane Sauton, Suzanne Velan
  • École du Vertige. Penser une école de la révolution pour les personnages fictionnels d’Alain Damasio – les Célestes. Acrobates du ciel, conquérantes des sommets de ville et écoguerrières engagées, les Célestes appellent un tiers lieu différent, une architecture de combat et d’émancipation. Une architecture qui met en tension le corps et l’esprit autour du sentiment de vertige, de basculement dans le vide et de lâcher-prise
    Eglantine Lauret, Ambre Leronseur, Anais Collet
  • Opération Rubis. L’armée s’intéresse aux furtifs pour leurs capacités de camouflage et de métabolisation de leur environnement selon le texte de Damasio. L’Opération Rubis transforme le rocher d’Alcatraz en base militaire furtive, mi-souterraine, mi-sousmarine. Une architecture de l’effleurement et de l’affleurement où deux mondes se croisent sans se voir, se cherchent sans se percevoir.
    Julien Galant, Bavly Guirguis, Suad Sambur
  • École du nouveau révolté. Damasio critique dans son récit une société ultra-capitaliste qui vise l’illusion du contrôle absolu par l’image. Cette école en est le manifeste, dénonçant en révélant l’espace induit par cette illusion de contrôle. L’architecture est une machine qui contraint avant de libérer, conçue comme une gigantesque matrice d’acier entourant le phare d’Alcatraz, premier de son genre en Amérique lors de la Ruée vers l’Or
    Mathilde Wong
  • À l’Affût. Observer en silence, co-exister en harmonie avec ces autres êtres qui peuplent le rocher d’Alcatraz. Trois affûts pensés comme des extensions organiques et architecturaux de l’île, au plus près des mammifères marins ou des guillemots. Et un quatrième, pensé comme un contre-nichoir prenant racine sous les dalles d’un bâtiment à l’abandon. Dans celui-ci le naturaliste apprend à se mouvoir comme un animal et à ressentir le monde autrement.
    Daphné Garier, Valentine Taub, Andjela Zivanovic
  • Tourisme de la désolation. En imaginant un centre de détention touristique, le projet pose la question de l’emprisonnement, du contrôle et de la fascination des ruines chargées d’histoires dramatiques. L’architecture devient dispositif panoptique et mise en scène d’un méga-gardien concentrant tous les fantasmes de cette nouvelle forme de tourisme extrême.
    YOussef Ben Nessib, Ana Grgic, Jude Hamze

Capsule vidéo des installations pour le jury externe avec Alain Damasio :

Capsule jury P6 "The Rock, San Francisco", juin 2022


« L’inattendu, matière à projet » à Ivry-la-Bataille - P6, licence

Le studio de projet « L’inattendu, matière à projet » a pour intention première de sensibiliser les étudiants à la question de la réhabilitation comme enjeu environnemental. Ce studio s’est inscrit à Ivry-la …

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Le studio de projet « L’inattendu, matière à projet » a pour intention première de sensibiliser les étudiants à la question de la réhabilitation comme enjeu environnemental. Ce studio s’est inscrit à Ivry-la-Bataille, en partenariat avec les élus de cette commune de l’agglomération de Dreux disposant du label « Petite ville de demain ».
Découvrez ci-dessous une synthèse des 6 projets des étudiant·e·s, présentés dans un format réduit pour partager le fruit des travaux nés en Normandie, à la limite de l’Île-de-France et du Centre-Val de Loire, pendant ce troisième et dernier semestre de licence.

Enseignant·e·s responsables : Peggy Garcia et Christian Comiot.

Etudiant·e·s : Noukoh Anja, Léo Arné, Elisa Binard, Camille-Olivier Boïto, Antoine Cahen, Paulin Chieus, Lou Ducatillon, Marin Eymard-Duvernay, Paul Fajardie, Camille Girardet, Anezka Kanova, Samwiel Khalil, Louise Lebedel, Loïs Moulin, Romane Pochic, Hélène Robert, Lucas Rongeon.

Cliquez sur l’image pour lire le document :


Architectures de l’eau à Paris - R7, master

L’architecture de l’eau met en jeu les conditions essentielles de la résilience des métropoles face aux crises environnementales, telles que la perméabilité des sols urbains, le recyclage des eaux pluviales et us …

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L’architecture de l’eau met en jeu les conditions essentielles de la résilience des métropoles face aux crises environnementales, telles que la perméabilité des sols urbains, le recyclage des eaux pluviales et usées, la biodiversité ou les équilibres du bassin fluvial en période d’inondation. Les situations de crise renouvellent notre perception du rôle de l’eau et des infrastructures hydrauliques. Elles exigent de repenser l’architecture des flux qui irriguent les habitats, les espaces publics, le sous-sol de la ville, l’agriculture urbaine, les parcs et jardins.
L’enseignement, intitulé Architectures de l’Eau à Paris, a rassemblé, au premier semestre, 23 étudiant·e·s de master, en partenariat avec Eau de Paris, l’opérateur public de la Mairie de Paris qui assure l’approvisionnement en eau de la capitale. En prenant comme terrain d’expérimentation les réseaux hydrauliques de Paris, l’objectif de ces travaux est d’explorer les idées et concepts d’une architecture de l’eau novatrice, capable de relever ces défis, et d’imaginer les principes d’une future transition hydraulique.
L’école remercie Mme Armelle Bernard et M. Frédéric Rocher d’Eau de Paris, notre partenaire, qui ont soutenu avec constance et bienveillance le travail des étudiant·e·s, leur apportant expertise, documentation et cette expérience du monde professionnel et du réel indispensable au cursus des études d’architecture.

Enseignant·e·s : Jean-François Coulais, Leda Dimitriadi et Ayda Alehashemi
Etudiant·e·s : Melissa Anis, Alexandre Bava, Mathilde Brunet, Haiyun Chen, Lisa-Marie Deransy, Chirine Di Fusco, Charles Haskell, Imke Hullmann, Ezgi Kaya, Hadi Khalife, Evanah Le Mercier, Ambre Le Moigne, Yuehan Li, Hippolyte Lucien, Alec Marzin-Corre, Mira Mezher, Claire Picard, Emel Sabir, Roxane Seckauer, Georgis Thalassinos, William Tigoue, Julia Wiesiollek, Noa Zermati.

Cliquez sur les images pour découvrir les travaux des étudiant·e·s :

Un Pari(s) tombé à l’eau ?
Alexandre Bava, Charles Haskell,
Ambre Le Moigne, Mira Mezher

+ Lien vidéo

Le 5e temps de l’eau
Roxane Seckauer, Chirine Di Fusco,
Claire Picard, Noa Zermati


Les chemins souterrains de l’eau

Mathilde Brunet, Haiyun Chen, Yuehan Li

Les continuités hydro-écologiques
Melissa Anis, Ezgi Kaya, Hadi Khalife,
Emel Sabir

Les réservoirs au fil de l’eau
Evanah Le Mercier, William Tigoue,
Imke Hullmann, Julia Wiesiollek

Hub agro
Lisa-Marie Deransy, Georgis Thalassinos,
Hippolyte Lucien, Alec Marzin-Corre

En savoir plus : fiche pédagogique de l’enseignement


Exposition et débat hors-les-murs "Xenia Hotel, Grèce" - P7/9, master

Les étudiant·e·s de master du P7/9 « Xenia Hotel, Grèce Topographies, Architectures, Traces », proposé par Dimitra Kanellopoulou et Bérénice Gaussuin, ont travaillé, au premier semestre, sur les unités hôteli …

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Les étudiant·e·s de master du P7/9 « Xenia Hotel, Grèce Topographies, Architectures, Traces », proposé par Dimitra Kanellopoulou et Bérénice Gaussuin, ont travaillé, au premier semestre, sur les unités hôtelières Xénia en Grèce, architectures modernes construites entre 1950 et 1980 afin de promouvoir l’offre touristique du pays, patrimoine classé et maintenant partiellement à l’état de ruine. Ils se sont pour cela rendus à Athènes et à Nauplie en début de semestre (voir post précédent) afin d’étudier le site du projet et de participer à deux workshops avec les étudiant·e·s des autres écoles travaillant sur le sujet. Il s’agit en effet de travaux menés en partenariat avec l’ENSA Nantes (travaux encadrés par Julien Perraud et Fabienne Boudon)  et l’école d’architecture d’Athènes (NTUA – travaux encadrés par Leonidas Koutsoumpos et Kostas Tsiampaos). L’ensemble des projets des étudiant·e·s ont fait l’objet d’une exposition et d’un débat (en anglais) à la Fondation Hellénique de la Cité Internationale Universitaire de Paris le vendredi 24 juin. Cet événement réussi a permis aux étudiant·e·s de présenter leurs projets en public et en présence d’experts et de professeurs de Politecnico di Milano, de NTUA et de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Etudiant·e·s de Malaquais : Chloé Avogadro, Laetitia Beauchef, Roxanne Bernard, Vincent Bourgeois, Alice Charrié, Martin Costeau, Lisa-Marie Deransy, Estelle Deschamps, Rim Falakha, Baptiste Le Grelle, Évanah Le Mercier, Valentine Lesur, Hippolyte Lucien, Pétronille Mallié, Alec Marzin Corre, Claire Picard, Valentine Piétri, Morgane Ravoajanahary, Victoire Régniez, William Tigoue.

© photos : enseignantes et étudiant·e·s du groupe


Conclusion du séminaire VILLARD 23 à Cagliari – P7/9, master

Le séminaire de projet international VILLARD 23, dans le cadre duquel s’inscrivait deux studios de projet de master de l’école (voir post précédent), s’est conclu du 30 juin au 2 juillet à Cagliari, avec l’ …

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Le séminaire de projet international VILLARD 23, dans le cadre duquel s’inscrivait deux studios de projet de master de l’école (voir post précédent), s’est conclu du 30 juin au 2 juillet à Cagliari, avec l’étape finale d’exposition et présentation des projets au jury international.
Les projets de 4 groupes d’étudiant·e·s du P7/9 « Italie villes anciennes, nouveaux territoire de projet » (coordonnée par Maria Salerno) y ont été présentés (par les enseignants des autres écoles, le déplacement du groupe de Malaquais n’ayant pas été possible cette année). Une publication fera suite à cette exposition.

Cliquez sur les images pour découvrir les travaux des étudiant·e·s :


Parvis d’une ville fragmentée
Youssef Chehade et Maëlle Dargenton

Un plongeon à la Scaffa
Salma Harrak, Soukaina Jamai et Youssef Tibourki

Fleuve de fer – La lagune qui prend vie
Nolwenn  Bergeron, Laetitia Fayad, Rym Ferroukhi et Joe Stephan

Habiter l’infrastructure
Elia Alejandre Romero et Youssra Issalihi


Le studio « Des Univers scénographiques » célèbre Molière - P8, master

En partenariat avec la Comédie-Française

Présentation du jury externe du 15 juin 2022 par Rafaël Magrou : “Les étudiant·e·s du studio P8 « Des Univers scénographiques » ont présenté devant Éric Ruf, administrateur général de la Comédie-Fran …

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En partenariat avec la Comédie-Française

Présentation du jury externe du 15 juin 2022 par Rafaël Magrou :

“Les étudiant·e·s du studio P8 « Des Univers scénographiques » ont présenté devant Éric Ruf, administrateur général de la Comédie-Française, et en présence de son équipe, leurs propositions d’espaces scéniques découlant du texte Le Mariage forcé de Molière (programmé dans la saison 2021-22).
Ces exposés, incarnés et littéralement interprétés devant le patron de la Maison de l’illustre auteur dont l’année 2022 célèbre le 400e anniversaire de naissance, ont été suivis d’échanges constructifs et conviviaux.
Comme chaque année depuis 2018, les étudiants qui abordaient le plateau du Vieux-Colombier pour y inscrire des spatialités découlant d’un texte dramatique, ont su faire preuve non seulement d’imagination mais aussi de maîtrise des éléments scéniques afin d’offrir leur propre interprétation de cette comédie-ballet, allant jusqu’à réaménager la salle et la scène de fond en comble. Les conceptions à l’échelle 1 :33e et la pensée de l’espace articulé avec le temps de la pièce ont pu être abouties grâce aux visites, rencontres et autres spectacles proposés par la Comédie-Française et aux multiples échanges avec les professionnels du théâtre.
Ce travail était précédé d’une analyse de lieux et de dispositifs contemporains représentés et maquettés permettant de saisir les enjeux de l’espace théâtral.”

Enseignant responsable : Rafaël Magrou

Les étudiant·e·s : Amelia Barceló Coderch, Louise Barre, Marion Baudu, Noémie Benlolo, Tom Benvegnen, Louise Bonthoux, Mathilde Brunet, Jeanne Delor, René Galand, Vincent Geers, Ulysse Geneau, Orphée Lagrange, Samuel Menant, Sara Negra, Alicia Pellicer Maseres, Alberto Prestianni, Victoire Regniez, Leon Schmutzler, Jeanne Thierry et Juliette Vincens de Tapol.


Retour sur les intensifs intercycles de février

16 propositions de thématiques ont été faites aux étudiants pour les intensifs de l’inter-semestre qui ont eu lieu en février. Nous vous invitons à découvrir les travaux issus de ces enseignements hors du commun …

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16 propositions de thématiques ont été faites aux étudiants pour les intensifs de l’inter-semestre qui ont eu lieu en février.

Nous vous invitons à découvrir les travaux issus de ces enseignements hors du commun où il a été question, entre autres, de ville réversible, de voûte à nervures en pierre de taille, de communiquer pour briller, d’expédition vers des Monts Analogues, d’économie circulaire, d’éloge de la poignée de porte, d’impressions 3D et bien plus encore !

> A découvrir ici la présentation de l’ensemble des travaux issus de ces intensifs

Retour en images sur le défilé des masques - P2, licence

Le Défilé des Masques est la présentation d’un exercice pédagogique donnant lieu à une manifestation un peu étrange, assez hors norme, proposant le 7 avril 2022 une soirée un peu festive à une communauté éduc …

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Le Défilé des Masques est la présentation d’un exercice pédagogique donnant lieu à une manifestation un peu étrange, assez hors norme, proposant le 7 avril 2022 une soirée un peu festive à une communauté éducative qui avait le grand désir d’occasions de se retrouver après une période de confinement plus strict.

Anna, Chérie, Gabrielle, Gauthier, Gustave, Iman, Kale, Layana, Marie, Michal, Nine, Paul-Alexis    , Riftha, Sarah et Sauriana, les 15 étudiants du groupe de P2 animé par Jean-Pierre Vallier ont conçu, fabriqué et présenté cinq “masques” à partir du double cahier des charges suivant :

1/ Produire un masque-habitacle, c’est-à-dire une chose hybride entre masque (au sens on pourrait dire ethnographique du terme), vêtement  et  extension corporelle. C’est-à-dire un grand masque qui (comme dans certaines cultures et rituels) couvre (a priori) tout le corps, et un grand masque qui soit mobilisable dans l’espace.

2/ Que ce masque soit conçu en écho à la thématique de la symbiose choisie pour tout le semestre pour ce studio.

Par groupe de 3, les étudiants se sont répartis un des 5 systèmes symbiotiques proposés, à savoir :

. Les lichens (association bénéfique pour les 2, d’une algue et d’un champignon, et qui sont considérés comme les grands précurseurs de la conquête terrestre au départ sans doute cantonné au milieu marin).

. Les anémones de mer (qui, entre autres caractères symbiotiques, hébergent dans leurs tentacules des algues unicellulaires endosymbiotiques qui métabolisent l’énergie lumineuse en énergie exploitable par l’organisme).

. Les symbioses dites rhizobiennes (plantes-bactéries) et mycorhizienne (plantes-champignons), (dont les scientifiques découvrent peu à peu qu’elles sont la clef souterraine qui permet aux plantes et aux forêts de se développer dans leur milieu dans de bonnes conditions).

. Les animaux utilisant la photosynthèse (c’est-à-dire ayant intégré à l’intérieur de leur corps des algues qui transforment l’énergie solaire en sucre et autres molécules organiques).

. La cellule eucaryote (en gros c’est le processus évolutif complexe par intégration d’organismes étrangers au sein même des cellules qui a produit les cellules de plus en plus complexes dans le règne végétal et animal jusqu’à l’espèce humaine. Nos cellules sont en somme une architecture symbiotique. Et nous sommes nous‑mêmes, sans que nous le sachions, très intimement des êtres intrinsèquement symbiotiques.).

Il ne s’agissait bien sûr pas de copier littéralement ces organismes, mais de travailler sur la mise en rapport de certaines de leurs principales caractéristiques avec la problématique propre à ce masque si particulier destiné à être porté et mis en mouvement dans l’espace.

Cet exercice fondé sur un travail de transposition conceptuelle et sur la mise en œuvre assez sophistiquée de matériaux et dispositifs spécifiques à chaque masque, a demandé beaucoup d’investissement aux étudiants, mais a aussi généré une très grande motivation de leur part.

Les très nombreuses interactions entrecroisant de manière très significative et problématique les notions d’habitacle, de masque, de vêtement, d’hybridation, de symbiose, de matériaux, d’assemblage et de scénographie, … ont constitué un très bon accélérateur d’acquisitions multiples.

Retour sur le voyage à Chandigarh, Inde - P8, master

Les étudiant·e·s du studio de master “Ressources de villes indiennes”, coordonné par Thierry Mandoul,  ont pu se rendre en Inde après les années de confinement. Lors de ce voyage deux aspects des ville …

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Les étudiant·e·s du studio de master “Ressources de villes indiennes”, coordonné par Thierry Mandoul,  ont pu se rendre en Inde après les années de confinement.

Lors de ce voyage deux aspects des villes indiennes ont été plus particulièrement explorés et ressentis.

Premièrement celui de comment construire pour les plus démunis avec l’étude du quartier d’Aranya à Indore de Balkrishna Doshi (lauréat du Pritzker Prize 2018). Progressivement construit à partir des années 1980 à partir du master plan de l’architecte d’Ahmedabad, 70 000 habitants y résident ensemble aujourd’hui harmonieusement . Relevés, enquêtes, visites des habitations ont constitué le menu quotidien des étudiants (cf. Photos et dessin axonométrique).

Le deuxième aspect fut celui d’éprouver les conditions climatiques extrêmes des villes indiennes et de méditer sur les réponses architecturales et paysagères construites et à élaborer pour faire face à aux chaleurs et pollutions extrêmes.

Visite d'ateliers d’impression 3D grande dimension - D8, master

Les étudiant·e·s de master inscrit·e·s à l’enseignement “Franchissements” (D8), coordonné par Matteo Porrino, ont participé le 10 mai dernier à la visite des ateliers d’impression 3D grande d …

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Les étudiant·e·s de master inscrit·e·s à l’enseignement “Franchissements” (D8), coordonné par Matteo Porrino, ont participé le 10 mai dernier à la visite des ateliers d’impression 3D grande dimension XtreeE de Rungis.
Les étudiants, accueillis par Taha Bouizargan, chef de projet, ont notamment assisté à l’impression 3D d’un des voussoirs de la passerelle cyclable prévue pour franchir le ruisseau de Cabrié, dans l’Hérault.
Constitué de voussoirs en béton imprimé assemblés par des câbles de précontrainte, l’ouvrage, qui mesure 30 mètres de long, sera achevé fin 2022.
Une fois ouvert au public le franchissement sur le Cabrié, précédant de quelques mois le chantier de la future passerelle piétonne à Aubervilliers prévue pour les Jeux olympiques de 2024, deviendra la première réalisation de ce type exécutée par fabrication additive en France.

Retour sur le workshop à Palerme, Sicile - P8, master

Les étudiant·e·s du studio de master “Ground Water City – Architectures de l’eau en Sicile”, coordonné par Jean-François Coulais et Léda Dimitriadi, sont partis pour un workshop à Palerme, …

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Les étudiant·e·s du studio de master “Ground Water City – Architectures de l’eau en Sicile”, coordonné par Jean-François Coulais et Léda Dimitriadi, sont partis pour un workshop à Palerme, en Sicile :

Du 17 au 29 avril 2022, un groupe de 20 étudiants de master de l’École Nationale Supérieure d’Architecture Paris Malaquais ont été accueillis par le Département d’Architecture de l’Université de Palerme dans le cadre du workshop de projet P8 Groundwater Palermo.

Les objectifs du workshop étaient d’enquêter sur l’héritage paysager et architectural des parcs qui ceinturaient la ville et le palais royal de Palerme au Moyen Âge, puis de formuler des propositions pour leur redonner une visibilité et une identité dans le paysage palermitain contemporain. Dessinés par les princes de Palerme à l’époque arabo-normande, ces parcs constituaient un écrin d’une beauté exceptionnelle, appelée la « Conque d’Or » par de nombreux voyageurs qui la décrivaient comme le Paradis de la Méditerranée. Ce Paradis était constitué d’une série de palais de style arabo-normand s’élevant audacieusement au-dessus de vastes lacs artificiels alimentés par un réseau de galeries souterraines, entourés de plantations d’agrumes, de vergers, de jardins de fleurs aux délicieux parfums exotiques, de vignes, de forêts et de canaux, le tout formant une gigantesque riyad de plus de 700 hectares.

Bien que plusieurs vestiges de cette architecture aient survécu jusqu’à nos jours, la plupart sont en ruines et ont été absorbés par le tissu urbain moderne, perdant ainsi leur fonction territoriale et leur raison d’être dans le paysage. Le travail des étudiants fut d’abord d’identifier les traces des anciens parcs royaux dans le paysage actuel, de comprendre la complexité des compositions qui organisaient le territoire, puis d’en reconfigurer l’héritage dans le contexte de la métropole contemporaine, par une démarche qui s’apparente à la conception des systèmes de parcs de Frederick Olmstead. Pour y parvenir, leurs projets se sont appuyés sur une série de motifs architecturaux et paysagers originaux, combinant architecture de l’eau, agriculture vivrière et perspectives visuelles ouvertes sur le grand paysage. Ils redessinent ainsi ces territoires suburbains autour de points d’articulation entre l’architecture arabo-normande, l’eau et le végétal, qui deviennent matières de projets. Au nom de tous les étudiants, l’équipe enseignante de Malaquais, composée de Jean-François Coulais, Ayda Alehashemi et Leda Dimitriadi, remercie chaleureusement les nombreux collègues palermitains qui les ont accueillis, leur ont donné de belles conférences et les ont guidé lors des visites de terrain, et tout particulièrement le Professeur Manfredi Leone, directeur du département d’architecture du paysage, qui a construit et coordonné le programme d’un workshop de 9 jours aussi intense que passionnant.

Jean-François Coulais

Vous trouverez en complément le livret “GroundWater Palermo” qui rassemble les rendus de leurs travaux publiés à l’occasion du jury/exposition :

> Livret “GroundWater Palermo”

Conclusion du séminaire VILLARD 23 à Cagliari – P7/9, master

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Studio de projet "Des univers scénographiques" - P8, master 1

Les étudiant·e·s du studio de master 1 “Des univers scénographiques” coordonné par Rafaël Magrou ont visité le Théâtre des Champs-Elysées. Les étudiant·e·s travaillant sur le plateau du Vieux Col …

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Les étudiant·e·s du studio de master 1 “Des univers scénographiques” coordonné par Rafaël Magrou ont visité le Théâtre des Champs-Elysées.

Les étudiant·e·s travaillant sur le plateau du Vieux Colombier, il importait qu’ils visitent l’un des fleurons de l’architecture théâtrale, réalisé la même année que le Vieux-Colombier (1913), lieu où plusieurs révolutions artistiques ont eu lieu: architecturale par ce théâtre-ossature en béton armé des Frères Perret (à partir d’un projet initial de Henry van de Velde), musicale avec le Sacre du Printemps de Stravinsky, chorégraphique avec les Ballets russes de Diaghilev et le danseur Nijinsky.

Avec la Salle Richelieu de la Comédie-Française, le Vieux Colombier, et la visite d’une autre salle récemment livrée témoignant de l’architecture théâtrale contemporaine, le Théâtre des Champs-Elysées incarne un jalon historique.

Rencontre avec Philippe Descola - Séminaire AAP, master

Le séminaire de master AAP “Matières de l’architecture” a reçu, le 17 mars, Philippe Descola, Professeur au Collège de France dans la chaire d’anthropologie de la nature. Yann Rocher revient sur cette …

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Le séminaire de master AAP “Matières de l’architecture” a reçu, le 17 mars, Philippe Descola, Professeur au Collège de France dans la chaire d’anthropologie de la nature.

Yann Rocher revient sur cette rencontre : “Recevoir Philippe Descola à l’école c’est d’abord le plaisir d’une conférence et d’une discussion de trois heures à l’extrême densité, tant sur le plan des perspectives que ses “formes du visible” tracent à travers des peuples et des contextes variés, qu’en termes d’élaborations et d’inventions conceptuelles permettant de saisir ces terrains et artefacts au plus proche de leur “réel”. C’est aussi, en définitive, une leçon de vie : celle de constamment chercher, dans le miroir déformant de l’ailleurs, à questionner profondément l’identité.”

> chaîne Youtube du séminaire
La vidéo de cette conférence y sera prochainement disponible.
Dans le cadre du séminaire « Matières de l’architecture » du département Art Architecture Politique (AAP), séminaire dirigé par Marco Assennato, Carlotta Darò et Yann Rocher.

Visite du chantier de reconstruction du pont Seibert - D8, master

Les étudiant·e·s inscrit·e·s à l’enseignement D8 “Franchissements”, coordonné par Matteo Porrino, ont pu participer, le 30 mars dernier, à la visite du chantier de reconstruction du pont Seiber …

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Les étudiant·e·s inscrit·e·s à l’enseignement D8 “Franchissements”, coordonné par Matteo Porrino, ont pu participer, le 30 mars dernier, à la visite du chantier de reconstruction du pont Seibert, entre l’île Seguin (Boulogne-Billancourt) et Meudon (92).

Héritage de l’époque des usines Renault, le pont Seibert, qui relie l’île Seguin aux berges de Meudon, est remplacé par un nouvel ouvrage, après trois ans d’études et fabrication. Construit par les entreprises CMC et Baudin Châteauneuf (avec SPL Val-de-Seine, Agence AEI, Ingérop), transporté en convoi exceptionnel puis assemblé sur l’île Seguin, ce nouveau pont de 150 mètres de long pour 2000 tonnes d’acier a été posé en novembre dernier sur ses appuis définitifs. Le nouveau pont Seibert est actuellement en cours d’achèvement, son ouverture au public est prévue en 2024.


Studio de projet "Matérialités et cultures constructives" - Sequence "Légèreté et pesanteur"- P2, licence

Retour en images sur les activités de quelques groupes du P2 en mars : découverte, avec Yann Rocher, du plus petit cirque du monde à Bagneux (PPCM) ; visite de l’Institut du monde arabe avec Jean-Pierre Vallier ; …

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Retour en images sur les activités de quelques groupes du P2 en mars : découverte, avec Yann Rocher, du plus petit cirque du monde à Bagneux (PPCM) ; visite de l’Institut du monde arabe avec Jean-Pierre Vallier ; présentation des rendus par le groupe d’Arnaud Bical en fin de séquence 1 « Légèreté et pesanteur ». Chacune des 3 séquences de ce studio, est l’occasion d’interroger les notions concernées, en lien avec des matériaux, des savoirs et des principes constructifs, de les mettre en perspective, de les décliner, de les contester et de les dépasser.


Studio de projet "Des univers scénographiques" - P8, master 1

Présentation de l’actualité du studio de master 1 “Des univers scénographiques” (P8) par Rafaël Magrou qui le coordonne : “Dans le cadre de ce studio, en partenariat avec la Comédie-Français …

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Présentation de l’actualité du studio de master 1 “Des univers scénographiques” (P8) par Rafaël Magrou qui le coordonne :

“Dans le cadre de ce studio, en partenariat avec la Comédie-Française, les étudiant·e·s ont effectué plusieurs visites : le musée d’Orsay, puis la Salle Richelieu, des dessous aux cintres, visite commentée par Alicya Karsenti, régisseuse, et quelques témoignages dessinés in situ ainsi qu’une visite du Vieux-Colombier, guidée par Philippe Lagrue, directeur technique.

Les étudiant·e·s ont eu la chance de bénéficier de rencontres avec Eric Ruf, administrateur général de la Comédie-Française et scénographe, Laurent Muhleisen conseiller littéraire pour un atelier dramaturgique, ainsi que Bertrand Couderc concepteur lumière et Jordan Vincent, assistant scénographe de Jan Versweyveld (Ivo van Hove, metteur en scène). Ils ont aussi assisté à une conférence de Clément Hervieu-Léger sur le thème « mettre en scène Molière ».

Cette année, le texte étudié du « patron » de la Comédie-Française, à savoir Molière, pour le 400e anniversaire de sa naissance est : “Le Mariage forcé”, comédie-ballet dont les étudiant·e·s présenteront leurs interprétations spatiales mi juin 2022.

En outre, les étudiant·e·s ont vu plusieurs spectacles tels “Le Misanthrope”, “Dom Juan” ou “le Festin de pierre”, et ont aimablement été invités par Marine Jubin (service éducatif) à la répétition des “Précieuses Ridicules”.

En bonus, accueillis par Ariane Mnouchkine (réalisatrice du film “Molière”), ils ont expérimenté l’aventure du Théâtre du Soleil, qui présente actuellement “l’Ile d’Or”, histoire implantée dans le Japon contemporain.

D’autres visites et rencontres à venir dans ce semestre scénographique exceptionnel.”


Palais des études scénographié par des étudiantes de Malaquais

La nouvelle structure construite dans la cour vitrée du Palais des études a été dessinée par les étudiantes de l’ENSA Paris-Malaquais Chloé Redelinger et Charlotte Vermeulen, dans le cadre de l’enseignemen …

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La nouvelle structure construite dans la cour vitrée du Palais des études a été dessinée par les étudiantes de l’ENSA Paris-Malaquais Chloé Redelinger et Charlotte Vermeulen, dans le cadre de l’enseignement de master “L’entour. Histoire et technique de la scénographie d’exposition” coordonné par Yann Rocher. Elles ont travaillé en étroite collaboration avec Kathy Alliou, Frédéric Brière, Cristiano Raimondi, Julien Rodier et la société Solid.

Six étudiantes ont par la suite été impliquées pour la réalisation de la scénographie de l’exposition des Beaux-arts « Crush » qui y a été présentée en février (avec le soutien du Fonds de dotation Bredin Prat). Lina Diouri, Paola Majdalani, Paula Manuel Rubio, Syedha Hoosna Mohamed Kamaludeen, Chloé Redelinger et Charlotte Vermeulen ont travaillé avec Cristiano Raimondi, commissaire d’exposition indépendant, assisté de Julien Rodier.

Ces espaces du Palais des études accueilleront dans les prochains mois d’autres expositions ainsi que des présentations de diplômes des Beaux-Arts.


Lauréats du Prix des Espoirs de l’architecture

Félicitations à Jean Cappelle et Faïne Raisson, étudiants en master 2, qui ont remporté le Prix du jury et le Prix coup de cœur des internautes du concours des Espoirs de l’architecture BNP Paribas Real Estate. L …

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Félicitations à Jean Cappelle et Faïne Raisson, étudiants en master 2, qui ont remporté le Prix du jury et le Prix coup de cœur des internautes du concours des Espoirs de l’architecture BNP Paribas Real Estate.

Leur projet, « Les Puits de la Ville » porte sur la réhabilitation d’un parking silo de près de 20 000 m² situé Porte de la Villette à Paris, qui est aujourd’hui abandonné. A travers un système de cheminées en verre qui percent le bâtiment, permettant de créer des puits de lumière et de le ventiler naturellement, le site va accueillir de nombreux services. Des espaces culturels avec des endroits dédiés aux expositions, à la danse ou au théâtre ; des endroits sportifs dédiés aux sports de combat, au yoga, à l’escalade et même des bureaux à l’étage. Ce lieu rassemble en faisant cohabiter différents profils et il mêle performance et architecture en s’implantant naturellement dans le paysage urbain.

> Découvrir le projet en détail


Dans nos murs : séminaire Villard 23

L’école a accueilli, du samedi 5 au mardi 8 mars, le séminaire Villard 23 sur le thème “Territoires entre rails et eau / Retrofront – Tra terra e mare / Urban regeneration in Cagliari”. Ce séminai …

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L’école a accueilli, du samedi 5 au mardi 8 mars, le séminaire Villard 23 sur le thème “Territoires entre rails et eau / Retrofront – Tra terra e mare / Urban regeneration in Cagliari”. Ce séminaire d’architecture itinérant, créé en Italie en 1999, a été nommé ainsi en hommage au maître d’œuvre français du XIIIe siècle Villard de Honnecourt. Il rassemble chaque année une centaine d’étudiants venant de 14 écoles d’architecture italiennes et européennes.

À l’école, ce séminaire s’inscrit dans le cadre des studios de projet :

Tous les étudiants travaillent, durant l’année, sur un site commun de projet, en concertation avec les administrations locales. Cette année il s’agit d’un territoire traversé par des infrastructures ferroviaires et viaires, situé le long d’une lagune à l’extrémité ouest de la ville de Cagliari. La réflexion porte sur les diverses stratégies de reconversion qui pourraient être expérimentées pour garantir le développement urbain et le fragile équilibre de cette zone riche en flore et faune protégées.

Un voyage sur place puis des rencontres successives permettent aux étudiants d’apprendre sur le terrain et d’échanger entre eux sur leurs projets.


Exposition Développement Licence "Etudiant(e)s habitant(e)s" avec l’ENSAD

Exposition des travaux des étudiants ENSA Paris-Malaquais / Arts Décoratifs (ENSAD) du Développement Licence “Etudiant(e)s habitant(e)s” à l’espace CROUS Concordia, du 14 au 17 janvier 2022. Cet enseign …

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Exposition des travaux des étudiants ENSA Paris-Malaquais / Arts Décoratifs (ENSAD) du Développement Licence “Etudiant(e)s habitant(e)s” à l’espace CROUS Concordia, du 14 au 17 janvier 2022.

Cet enseignement réunit des étudiant(e)s de l’ENSA Paris-Malaquais et des Arts Décoratifs (ENSAD) qui se sont constitués en binômes composés d’étudiant(e) de chaque établissement pour travailler durant tout le semestre.

Contexte : La détérioration des conditions de vie des étudiants dans la crise sanitaire récente a révélé l’importance des qualités de l’habitat et du cadre de vie quotidien à cette période charnière entre les années lycée au(x) domicile(s) de(s) parent(s) et de nouveaux modes d’habitat, choisis ou non, permettant de nouvelles expériences et de révéler des affinités personnelles en matière d’habitat.

Travail au cours du semestre : Suite à la visite de différentes résidences universitaires, les binômes d’étudiant(e)s ont réalisé des « enquêtes habité » dans les chambres et lieux de vie des étudiant(e)s rencontré(e)s lors de ces visites (ou sur les réseaux sociaux).  Les entretiens ont été restitués sous forme de livrets et les relevés mis au net à l’échelle du 1/20e.
Des résidences étudiantes remarquables ont été explorées par groupes en maquettes, à l’échelle du 1/20e également pour les chambres, complétées d’une façade au 1/100e et d’une maquette de situation au 1/2000e.

Maquettes présentées lors de l’exposition :

  • Fondation Deutsch de la Meurthe -1923-25 -architecte Lucien Bechmann (cité internationale, modèle des cité-jardins),
  • Maison de la suède -1931 -architectes Peder Classon et Germain Debré,
  • Bauhaus Dessau -1925-26 -architecte Walter Gropius (chambres ateliers meublées par les jeunes maîtres du Bauhaus),
  • Charlotte Perriand projets « travail et sport -1927 et équipement de la maison de la Tunisie, 1953 (Charlotte Perriand a également œuvré au Pavillon suisse, à la Maison du Brésil et à la maison du Mexique à la cité internationale)
  • Dormitories de l’Indian Institute of Management à Ahménabad, architecte Louis Kahn (dispositifs climatiques et écologiques)
  • Résidence Chris Marker, CROUS de Paris -2018 -architecte Eric Lapierre

Ce panorama d‘une variété de types et les enquêtes auprès des étudiant(e)s mettent en débat les conceptions architecturales, la pratique et les aménagements de ces lieux de vie et de leurs extensions (jardins, espaces publics, mobilités)

Cet enseignement propose une expérience de convergence pédagogique réunissant enseignant(e)s et étudiant(e)s de l’ENSA Paris-Malaquais et de l’ENSAD, en lien avec les travaux de la chaire Mutation des vies étudiantes.

Développement Licence ENSA Paris-Malaquais/ENSAD/chaire mutation des vies étudiantes.
Encadrement : Catherine Clarisse ENSA Paris-Malaquais / Véronique Massenet avec Blandine Bontour , Vanessa Goetz ENSAD, / Agathe Chiron et Jean-Sébastien Lagrange, Chaire CROUS/ENSADlab Mutation des vies étudiantes.


Jury final enthousiaste pour le P7/9 "Aux commandes (dans le périurbain) !"

Dans le cadre du partenariat entre le CAUE de l’Essonne, la ville de Dourdan et l’ENSA Paris Malaquais, les étudiants de M1 et M2 de ce studio, encadré par Joanne Vajda, ont été invités à réfléchir pendant to …

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Dans le cadre du partenariat entre le CAUE de l’Essonne, la ville de Dourdan et l’ENSA Paris Malaquais, les étudiants de M1 et M2 de ce studio, encadré par Joanne Vajda, ont été invités à réfléchir pendant tout le 1er semestre à l’évolution urbaine de la ville de Dourdan à partir de la transformation de l’ancienne propriété Lejars-Rouillon où se trouve une médiathèque dont le déménagement est acté.
En partant des questions liées aux nouveaux tourismes en Ile-de-France et de la capacité d’une architecture à s’adapter à des usages actuels, il fallait proposer des programmations à partir de la réalité du territoire, interroger les liens entre l’Orge, les places historiques de la ville et le parc pour proposer un projet cohérent qui montre comment l’architecture s’articule avec les espaces publics et la nature environnante.
Les interventions, au cours du semestre, de Cécile Besnard (architecte du CAUE91), Gabriel Auger (architecte et ingénieur), Vincent Pourtau (économiste, VPEAS), Patrick Duguet (architecte) ont confronté les étudiants avec des questions en lien avec la réalité d’un territoire qu’ils avaient encore peu abordé jusque-là dans leur cursus.

La présentation finale s’est déroulée le lundi 24 janvier à l’ENSA Paris Malaquais en présence de :

  • Pour le CAUE91 :
    • Valérie Kauffmann directrice
    • Cécile Besnard architecte
    • Léocadie Pelbois paysagiste
  • Pour la mairie de Dourdan :
    • M. Paolo de Carvalho / Maire de la commune;
    • Mme Josépha Brebion, 1ère adjointe au maire, déléguée à la culture, l’évènementiel, la communication et tourisme ;
    • M. Laborie, DGS de la commune ;
    • Mme Bidault, DGS adjointe ;
    • M. Laigniel, DST ;
    • Mme Troissant, chargée mission Petites Villes de Demain ;
    • Mme Juliette Cavecchi, directrice des services financiers.
  • Philippe Simon et Viviane André enseignants de l’ENSA Paris Val-de-Seine, avec lesquels nous sommes en train de construire un partenariat pédagogique sur le territoire. Leurs étudiants travailleront au second semestre à Dourdan en élargissant la réflexion aux problématiques territoriales.

Les projets proposés par les étudiants ont été très appréciés, les partenaires de ce studio soulignant le caractère innovant et ambitieux. Les maquettes des étudiants ont été offertes à la mairie de Dourdan. Ce partenariat est très stimulant pour tous et permet de confronter les étudiants à la réalité des territoires où ils interviendront en tant qu’architectes.


Concours interne constructions métalliques

Trois projets lauréats ont été élus le 20 janvier par le jury du concours interne à l’école organisé avec l’association ConstruirAcier, dans le cadre de l’enseignement D3/5 “Constructions métalliq …

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Trois projets lauréats ont été élus le 20 janvier par le jury du concours interne à l’école organisé avec l’association ConstruirAcier, dans le cadre de l’enseignement D3/5 “Constructions métalliques”.

Les 29 étudiants inscrits (répartis en neuf groupes de trois et un binôme) ont travaillé sur le thème d’une nouvelle couverture des fouilles archéologiques du site gallo-romain des Vaux-de-la-Celle, à Genainville

Ils ont proposé des projets pertinents et variés, démontrant les nombreuses possibilités offertes par le matériau acier, tant en structure qu’en couverture. L’équipe lauréate a apporté une réponse qui fait écho au tissu urbain de l’ancien site, et où une couverture translucide repose sur cinq portiques en charpente métallique constitués de profilés galvanisés.

Lauréats :

  • 1er prix, Paula Manuel Rubio, Alicia Pellicer Maseres, Matias Botero – voir le projet
  • 2e prix, Paulin Chieus, Pierre Bomey, Angelina Cardinali – voir le projet
  • 3e prix, Usman Malik, Jeanne Biogolo Messina, Illiass Boubekeur – voir le projet

Composition du jury : Natacha Bou Akl (Bollinger+Grohmann), Karolina Kaderka (École pratique des hautes études), Michel Royer-Muller (ConstruirAcier), Jérôme Wassermann (CY Cergy Paris Université) et Matteo Porrino (ENSA Paris-Malaquais).

Le montant des prix de 1 200 € a été mis à disposition par ConstruirAcier, association loi 1901 pour la promotion de l’acier dans l’architecture, le bâtiment et les travaux publics, dans le cadre de son partenariat avec l’ENSA Paris-Malaquais. [www.construiracier.fr]

Enseignant : Matteo Porrino


Finalistes du concours EUROPAN 16

Nathan Baudoin, futur diplômé, et Théo Anorga, diplômé 2021, ont été finalistes du concours EUROPAN 16 en janvier 2022 avec leur projet “La Toile Territoriale”. Ils étaient ainsi l’un des 5 proj …

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Nathan Baudoin, futur diplômé, et Théo Anorga, diplômé 2021, ont été finalistes du concours EUROPAN 16 en janvier 2022 avec leur projet “La Toile Territoriale”. Ils étaient ainsi l’un des 5 projets sélectionnés sur les 13 projets soumis au concours (3 projets sur les 5 ont été sélectionnés au final). Leur travail a été réalisé au sein du département PASS sous la direction de Xavier Gonzalez et de Gaétan Brunet, et encadré sous la direction de Margaux Darrieus pour la partie recherche.

> Présentation détaillée du projet “La Toile Territoriale”

Rencontre avec l'artiste plasticienne Eva Jospin dans le cadre du séminaire de master Art Architecture Politique (AAP)

Jeudi 6 janvier dernier, l’artiste plasticienne Eva Jospin a rencontré les étudiants du séminaire de master du département Art Architecture Politique (AAP), dans le cadre du programme de cette année, dirigé par C …

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Jeudi 6 janvier dernier, l’artiste plasticienne Eva Jospin a rencontré les étudiants du séminaire de master du département Art Architecture Politique (AAP), dans le cadre du programme de cette année, dirigé par Carlotta Darò, Marco Assennato et Yann Rocher, et consacré à la relation entre Nature et Artifice. Le travail d’Eva Jospin et sa façon de le présenter ont permis aux participants du séminaire d’apprécier ses qualités scénographiques évidentes et ses dimensions explicitement architecturales. La séance, directement gérée par les étudiants du séminaire – qui ont posé des questions et articulé la discussion – a permis aux participants d’analyser le côté concret du travail artistique contemporain. Dans le cadre de son exposition Galleria au Musée de la Chasse & de la Nature.

Retour sur la #PSL week à l’école en novembre

La PSL week qui a eu lieu à l’ENSA Paris-Malaquais du 22 au 26 novembre a consisté en une semaine intensive d’introduction aux métiers de l’aménagement, de l’urbanisme et de l’architecture. Il s’est a …

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La PSL week qui a eu lieu à l’ENSA Paris-Malaquais du 22 au 26 novembre a consisté en une semaine intensive d’introduction aux métiers de l’aménagement, de l’urbanisme et de l’architecture. Il s’est agi de présenter, à travers l’intervention de chercheur·euse·s et de professionnel·le·s, la multiplicité des disciplines, des champs d’intervention et des ancrages de ces métiers aux étudiant·e·s de PSL inscrit·e·s.

L’objectif était de saisir les pratiques, les enjeux et les dynamiques de la maîtrise d’œuvre architecturale et urbaine aujourd’hui.
Il s’agissait aussi d’encourager le croisement disciplinaire et de formations des étudiant·e·s, car si nous voulons changer nos manières de fabriquer la ville, il faut instaurer un dialogue interdisciplinaire le plus tôt possible et inciter les étudiant·e·s de l’Université PSL à se côtoyer dès l’école.

La diversité des parcours des 45 étudiant·e·s inscrit·e·s (MINES ParisTech ; Paris-Dauphine ; École normale supérieure ; École des Arts Décoratifs, Paris ; ESPCI Paris – PSL ; Chimie ParisTech – PSL ; École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais) a montré l’intérêt que suscite les métiers et les enjeux de la ville de demain auprès des étudiant·e·s de sciences dures et de sciences sociales et tout l’intérêt d’organiser de telles rencontres.

Organisée par les enseignantes : Emmanuele Cunningham Sabot (ENS), Isabelle Chesneau (ENSA Paris-Malaquais) et Alix de la Gaignonnière (ENS)

> En savoir plus : programme de la semaine


Lauréat.e.s des prix des diplômes et des mémoires de la Maison de l'architecture Ile-de-France

Félicitations aux étudiant·e·s diplômé·e·s de l’école en 2021, lauréat.e.s des prix de la Maison de l’architecture Ile-de-France. Les diplômes lauréats du prix des diplômes seront exposés à la …

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Félicitations aux étudiant·e·s diplômé·e·s de l’école en 2021, lauréat.e.s des prix de la Maison de l’architecture Ile-de-France.
Les diplômes lauréats du prix des diplômes seront exposés à la Maison de l’architecture Ile-de-France début janvier.
Ceux de l’an dernier le seront en même temps, dont ceux de Fanny Primard et Louise Tanant, lauréates 2020 de l’école.

Prix des diplômes :

  • Garance Champlois : « Au cœur de la ville – La vieillesse comme remède au déclin : proposition pour Dieppe » – Sous la direction de Dimitra Kanellopoulou
  • Zineddine Djouama : « Centre communautaire de Segou, Sénégal – Pour une architecture adaptée » – Sous la direction de Meriem Chabani

Prix des mémoires :

  • Jade Bénéï : « Reliques d’un futur contemporain – Écologie urbaine d’une nouvelle technopole russe au service de l’économie numérique néolibérale » – Sous la direction de Marco Assennato et Jac Fol ; Séminaire AAP – Art, Architecture, Politique.
  • Louise Gluntz : « Rennes et caribous de l’Arctique – Autochtones et animaux face aux nations et heureux et leurs frontières » – Sous la direction de Dominique Rouillard et Bérénice Gaussuin ; Séminaire THP – Généalogie du projet contemporain
  • Camille Vatin : « La route australe à l’infini des deux mondes – Les paysages du Grand Sud traversés par l’infrastructure dictatoriale » – Sous la direction de Dominique Rouillard et Marika Rupeka ; Séminaire THP – Généalogie du projet contemporain


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Double diplôme de master Université « Federico II » de Naples

En complément de la séance d’information organisée par le service international le 14 décembre pour transmettre toutes les informations concernant le double diplôme entre l’ENSA Paris-Malaquais et l̵ …

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En complément de la séance d’information organisée par le service international le 14 décembre pour transmettre toutes les informations concernant le double diplôme entre l’ENSA Paris-Malaquais et l’Université « Federico II » de Naples et les modalités d’inscription, retrouvez ici le témoignage de Clément Geiter, premier étudiant de ce nouveau cursus, parti en septembre dernier à Naples : ” La ville de Naples (…) son architecture éclectique, son urbanisme contrasté, son histoire riche, et sa topographie tumultueuse. (…) La grande diversité des styles qui se superposent et se confondent nous amène à faire de nombreuses découvertes architecturales (…)”

> Témoignage de Clément Geiter

Crédits photos : Clément Geiter


P7/P9 Master - Studio de projet " Xenia hôtel, Grèce"

Voyage d’études : Xenia hôtel, Grèce Dans le cadre du studio de P7/9 Xenia hôtel, Grèce proposé par Dimitra Kanellopoulou et Bérénice Gaussuin, les étudiant·es se sont rendus à Athènes et à Nauplie afin …

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Voyage d’études : Xenia hôtel, Grèce

Dans le cadre du studio de P7/9 Xenia hôtel, Grèce proposé par Dimitra Kanellopoulou et Bérénice Gaussuin, les étudiant·es se sont rendus à Athènes et à Nauplie afin d’étudier le site du projet. Ils ont participé à un premier workshop à Athènes avec les étudiant·es en architecture de NTUA School of architecture (sous la direction des enseignantes de studio associées à Leonidas Koutsoumpos) intitulé « Drawing the Section » puis un second à Nauplie avec les étudiant·es du Department of Performing and Digital Arts de l’Université du Péloponnèse (ens. : Marina Kotzamani, Asi Dimitrolopoulou, Vassilis Psarras, Stella Dimitrakopoulou) intitulé « One hour one path. Narrations of Akronafplia ». À Nauplie, le groupe a été accueilli au Center for Hellenic Studies de l’Université Harvard. La semaine de voyage a été close par une restitution en présence du maire de Nauplie, Demetrios Kostouros et des membres de l’association locale Palamidis qui avait organisé un concert dans le premier parlement grec (Vouleftikon) en l’honneur des travaux du groupe du studio.

Liste des étudiant·es : Chloé Avogadro, Laetitia Beauchef, Roxanne Bernard, Vincent Bourgeois, Alice Charrié, Martin Costeau, Lisa-Marie Deransy, Estelle Deschamps, Rim Falakha, Baptiste Le Grelle, Évanah Le Mercier, Valentine Lesur, Hippolyte Lucien, Pétronille Mallié, Alec Marzin Corre, Claire Picard, Valentine Piétri, Morgane Ravoajanahary, Victoire Régniez, William Tigoue.

© Dimitra Kanellopoulou et Bérénice Gaussuin

> Extraits des travaux des étudiant·es


P7/P9 Master - Studio de projet "Le Hameau du futur - Revitalisation de la commune de Bléré Val de Cher en Touraine"

Dans le cadre de ce studio de projet, les étudiant·es, encadré·es par Peggy Garcia et Clément Blanchet, sont partis en voyage d’étude Hors Les Murs à Bléré au coeur du Val de Loire. Ils ont été accueilli …

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Dans le cadre de ce studio de projet, les étudiant·es, encadré·es par Peggy Garcia et Clément Blanchet, sont partis en voyage d’étude Hors Les Murs à Bléré au coeur du Val de Loire. Ils ont été accueillis par la commune et à cette occasion Le Maire de la ville est venu échanger avec les étudiant·es sur les pistes de projets.  L’évènement a été couvert par la presse locale.

Article de la Nouvelle République du 17 novembre 2021 : L’architecture de la commune à la loupe

“Durant trois jours, vingt-deux étudiants de l’école d’architecture de Paris Malaquais, encadrés par leurs enseignants Peggy Garcia et Clément Blanchet, ont étudié la ville et planché sur son devenir, avec deux sites passés à la loupe, la friche industrielle de la fonderie et le futur quartier des Aigremonts.
« Depuis Paris, ils ont déjà étudié Bléré, sa géographie, son histoire. Ces trois jours d’immersion sur site leur ont permis de découvrir de visu la ville et de se projeter dans son avenir », expliquait Peggy Garcia, samedi en fin de journée, au moment où les étudiants rendaient leurs premières copies au maire, Fabien Nebel.
À l’aide de maquettes, dessins, plans qu’ils avaient réalisés de la fonderie, de belles pistes de travail sont sorties de leurs chapeaux comme un marché couvert, une médiathèque, des salles de spectacles, des activités intergénérationnelles, l’ouverture du site sur le Cher pour des activités nautiques, le prolongement de Bléré plage…
Pour le quartier des Aigremonts, les étudiants privilégient les liaisons douces pour rejoindre le centre-ville, le collège et les gymnases.
Après ce premier diagnostic où chaque étudiant avait deux minutes pour présenter ses idées puis des conseils de Fabien Nebel sur ce qui est possible de réaliser ou pas, notamment en matière de constructions sur le site de la fonderie, ils vont maintenant poursuivre et affiner leurs projets durant deux mois. En janvier, on en connaîtra la finalité.”


P7/9 Master - Studio de projet " Aux commandes (dans le périurbain) !

Présentation intermédiaire des étudiant·e·s en master à Dourdan Ce lundi 6 décembre, les étudiant·e·s en master de ce studio encadré par Joanne Vajda ont fait le déplacement à Dourdan pour une présentation …

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Présentation intermédiaire des étudiant·e·s en master à Dourdan

Ce lundi 6 décembre, les étudiant·e·s en master de ce studio encadré par Joanne Vajda ont fait le déplacement à Dourdan pour une présentation intermédiaire. L’équipe municipale était au grand complet, avec le maire, les élu·e·s et tous les services représentés. Trois personnes du CAUE91 étaient aussi présentes, ainsi qu’une enseignante de l’ENSA Paris Val-de-Seine dont un groupe prendra le relais sur ce travail au second semestre afin de tester une autre façon d’aborder ce projet et de créer des échanges entre écoles franciliennes.


D3/5 Licence – Développement "Lycées franciliens, témoins d’histoire et outils pédagogiques"

Pour la troisième année, les étudiants inscrits au développement « lycées franciliens » élaboré dans le cadre d’un partenariat avec la Région Ile de France et destiné à développer les qualités de communic …

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Pour la troisième année, les étudiants inscrits au développement « lycées franciliens » élaboré dans le cadre d’un partenariat avec la Région Ile de France et destiné à développer les qualités de communication et de médiation culturelle des étudiants en architecture, ont reçu les classes de lycéens avec lesquels ils vont interagir tout le semestre les vendredi 22 octobre et 12 novembre 2021.

Les lycéens étaient accompagnés de leurs enseignants, et il s’est agi là de la première interaction entre lycéens et étudiants. Après une visite historique du site, les étudiants ont présenté leur école en tant que lieu d’enseignement. La visite retour, organisée par les lycéens pour les étudiants, s’est faite au cours de la première quinzaine de novembre, dans les différents lycées engagés dans ce projet d’interaction, avant de développer des projets spécifiques dans chaque établissement.

Une restitution de ces interactions est d’ores et déjà prévue le jeudi 13 janvier 2021, avant l’exposition publique envisagée au printemps.

Enseignant.e.s : Laurence Veillet, avec Marie Artuphel, Aurélien Davrius et Pascal Laurent, pour les visites du site des Beaux Arts et de l’ENSAPM, Emmanuelle Philippe, conservateur des Monuments Historique, service Inventaire et Patrimoine de la Région Île-de-France.

© photos Laurence Veillet, ENSA Paris-Malaquais


Concours BIOME 2020 : Coup de cœur du jury pour des étudiant.e.s de l'ENSA Paris-Malaquais

Les étudiant·es Lisa Figueras et Noor Dougier ont reçu le coup de coeur du jury pour leur projet “Les Elu.e.s”. Le concours BIOME, ouvert aux étudiant·es en école d’architecture et de paysage, a invi …

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Les étudiant·es Lisa Figueras et Noor Dougier ont reçu le coup de coeur du jury pour leur projet “Les Elu.e.s”.

Le concours BIOME, ouvert aux étudiant·es en école d’architecture et de paysage, a invité à imaginer, dans une sélection de petites et moyennes villes de la région Grand-Est, un projet architectural, urbain ou paysager capable de faire dialoguer ville et nature. Cette première édition a été organisée par la DREAL Grand-Est avec le soutien de la DGALN du Ministère de la Transition Ecologique.

> Projet “Les Elu.e.s”

> Vidéo de présentation projet “Les Elu.e.s”


P7/P9 "Italie, villes anciennes et nouveaux territoires de projet"

Les étudiants de ce studio encadrés par Maria Salerno ont participé les 28 et 29 octobre au séminaire “VILLARD 23 : Retro front entre mer et terre”. Une centaine d’étudiants de diverses université …

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Les étudiants de ce studio encadrés par Maria Salerno ont participé les 28 et 29 octobre au séminaire “VILLARD 23 : Retro front entre mer et terre”. Une centaine d’étudiants de diverses universités ont participé à la rencontre à Cagliari en Sardaigne et visité les sites d’études proposés par la mairie entre la lagune et la ville historique. Le séminaire a prévu de nombreuses conférences de personnalités internationales, entre autres João Ferreira Nunes, Alfonso Femia, Alberto Ferlenga et Francisco Mangado. Les projets des étudiants seront présentés aux autorités locales fin juin. Le studio est également encadré par Nicolas Gilsoul, Julie Barut et Luca Merlini.

> programme du séminaire


Visite du Louxor

Visiter le Louxor à Barbès est une expérience archéologique paradoxale car l’Égypte y devient égyptomanie, et le champ de fouilles, les vestiges d’un cinéma des années folles et d’une bo …

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Visiter le Louxor à Barbès est une expérience archéologique paradoxale car l’Égypte y devient égyptomanie, et le champ de fouilles, les vestiges d’un cinéma des années folles et d’une boîte de nuit des années 80. Dans ce qui est désormais un cinéma d’art et d’essai des cultures méditerranéennes, histoires et styles s’entremêlent comme les chapitres d’un livre ouvert, prétexte à méditer ce qui, décennie après décennie, charge un édifice et nourrit l’ambivalence de ses significations. Une visite du cours de licence “Les premiers contemporains” de Carlotta Darò, Pascal Laurent et Yann Rocher, photographiée par Bruno Weiss le 28 octobre 2021.

Studio de projet Chine aux 10es rencontres du réseau ERPS

Le travail mené dans des villages chinois plusieurs années de suite par les étudiants inscrits au P7/9 monté en partenariat avec la China Academy of Art de Hangzhou a été présenté lors des 10es rencontres du rés …

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Le travail mené dans des villages chinois plusieurs années de suite par les étudiants inscrits au P7/9 monté en partenariat avec la China Academy of Art de Hangzhou a été présenté lors des 10es rencontres du réseau ERPS (Espace rural & projet spatial) qui ont eu lieu du 6 au 8 octobre. Bruno J. Hubert, enseignant responsable de ce studio de projet, a témoigné de cette expérience par son intervention intitulée « Des ressources oubliées : l’exemple des villages chinois » au cours de ces rencontres placées sous le thème « Sol(s) en partage – Le sol comme milieu, ressource, mémoire ».

Les 10es rencontres du réseau ERPS ont été organisées par l’École nationale supérieure d’architecture de Saint-Étienne (ENSASE) – GRF Architectures & Transformations et l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand (ENSACF) – UMR Ressources, en partenariat avec le Parc naturel régional Livradois-Forez.

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Prix pour la thèse de Julie André-Garguilo

Pour sa thèse intitulée « La fabrique de l’architecte extraordinaire. L’Architectural Association School, 1964-83 », qu’elle a soutenue en décembre 2020, Julie André-Garguilo a obtenu le Prix de thèse de Par …

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Pour sa thèse intitulée « La fabrique de l’architecte extraordinaire. L’Architectural Association School, 1964-83 », qu’elle a soutenue en décembre 2020, Julie André-Garguilo a obtenu le Prix de thèse de Paris-Est Sup. Il lui sera remis le 16 novembre 2021.
Les Prix de thèse de Paris-Est Sup distinguent chaque année, pour chacune de ses écoles doctorales, les meilleurs travaux des docteurs du site, présélectionnés parmi les diplômés de l’année précédente pour leur qualité, leur originalité et leur portée vis-à-vis de la société.

La thèse de Julie André-Garguilo a également été remarquée par le jury 2021 du Prix de la Recherche et de la thèse de Doctorat en Architecture de l’académie d’architecture.

Cette thèse a été menée au laboratoire ACS, école doctorale Ville, Transports et Territoires Université Paris-Est avec pour directeurs de thèse Jean-Louis Violeau et Pierre Chabard.

Résumé : Cette thèse sociohistorique étudie les architectes du star-system et les valeurs qui régissent leurs pratiques par le biais d’un terrain d’études où leurs procédés de conception et leurs doctrines sont plus qu’ailleurs mis à jour, explicités, sauvegardés et argumentés : les institutions d’enseignement. Par la sélection d’une institution (l’Architectural Association School) située dans un cadre spatio-temporel précis (l’Angleterre entre 1964 et 1983), ce travail montre les conditions d’émergence institutionnelles, disciplinaires, pédagogiques et socio-professionnelles d’un modèle d’architecte à la pratique élargie et dont la reconnaissance l’est tout autant. En expliquant la façon dont les rapports sociaux passés participent à modeler l’organisation du champ et ses productions actuelles, cette thèse a vocation à enrichir les connaissances de la théorie de l’architecture, de la sociologie de la profession et de l’histoire des institutions.


Retour sur les intensifs numériques

Les étudiants et étudiantes de Licence 3 ont passé la semaine du 27 septembre au 1er octobre en intensifs numériques, une expérience pratique de l’usage des matériaux et des méthodes de fabrication numériques p …

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Les étudiants et étudiantes de Licence 3 ont passé la semaine du 27 septembre au 1er octobre en intensifs numériques, une expérience pratique de l’usage des matériaux et des méthodes de fabrication numériques pour développer et comprendre leur impact sur la conception.

À ce niveau les étudiants sont armés de compétences avancées en conception et fabrication mais d’un savoir de base sur les outils numériques. Cette semaine a donc comme objectif principal d’être une introduction intensive aux méthodes digitales avec une attente de résultats innovants. Il s’agit de présenter aux étudiants les bases théoriques de la fabrication numérique en tant qu’outil de conception, fournir une expérience pratique de l’usage des matériaux et des méthodes de fabrication pour développer et comprendre leur impact sur la conception et enfin corréler l’approche technique avec le contexte de conception de son application. Les matériaux, la fabrication et l’assemblage sont examinés comme des agents qui informent le processus de conception de maquettes, de petit mobilier, d’objets design.

Les cinq ateliers ont décliné diverses thématiques traitées en fonction des matériaux et machines utilisés.

Retrouvez ici la présentation des travaux issus de ces intensifs


Publication : développement « lycées »

Depuis 2018, l’enseignement “Lycées franciliens, témoins d’Histoire et outils pédagogiques” est mené à l’école par Laurence Veillet, dans le cadre du partenariat monté avec la Région Ile-de-Fran …

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Depuis 2018, l’enseignement “Lycées franciliens, témoins d’Histoire et outils pédagogiques” est mené à l’école par Laurence Veillet, dans le cadre du partenariat monté avec la Région Ile-de-France, impulsé à la fois par le service Éducation Artistique et Culturelle et le service Patrimoine et Inventaire, suite à l’appel à projet « Il était une fois mon bahut », visant à mettre en place des actions de médiation d’acteurs du monde de la culture auprès des lycéens franciliens.

Ce développement permet chaque année à une vingtaine d’étudiant.e.s de licence d’interagir avec une dizaine de classes de lycées, en travaillant sur les notions de patrimoine et d’inventaire, sur l’architecture scolaire et sur la médiation.

Ce travail est présenté par le texte que Laurence Veillent a signé dans l’ouvrage collectif “Les lycées d’Île-de-France – Quand l’architecture contemporaine rencontre la pédagogie” publié sous la direction de la DRAC IdF et de la Région IdF aux Éditions Lieux Dits, Collection Patrimoines d’Île-de-France (Lyon. Septembre 2021. 304 pages)

> en savoir plus sur l’ouvrage

> en savoir plus sur l’enseignement


Sur le terrain : P7/9 "Aux commandes (dans le périurbain) !"

Ce studio de P7/9 mené par Joanne Vajda, avec Meriem Chabani en 2020, fait l’objet d’un partenariat avec le CAUE91 qui permet aux étudiant.e.s de travailler au cœur des villes impliquées et d’en prendre en comp …

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Ce studio de P7/9 mené par Joanne Vajda, avec Meriem Chabani en 2020, fait l’objet d’un partenariat avec le CAUE91 qui permet aux étudiant.e.s de travailler au cœur des villes impliquées et d’en prendre en compte la réalité pour proposer des projets adaptés.

L’an dernier les étudiant.e.s ont travaillé avec la mairie de Ballancourt-sur-Essonne, travail qui a été présenté par le CAUE91 fin septembre dans le cadre du salon professionnel Architect at Work à Paris, avec une exposition et une table ronde “Le terrain comme outil pédagogique, découverte de la complexité de la commande publique” comptant la participation de Joanne Vajda.

Cette année c’est l’équipe municipale de Dourdan qui est impliquée et a réservé un accueil chaleureux au groupe de projet dès le lundi de la rentrée.

> Planches de l’exposition du CAUE “Les étudiants des Écoles nationales supérieures d’architecture sur le territoire essonnien”


Workshop intensif « Archéologie théâtrale en pays morlaisien »

En Bretagne, la ville de Morlaix détient un patrimoine scénique étonnant. Il y a le Théâtre du Pays de Morlaix (1888) avec sa salle à l’italienne et vient d’être inauguré le SEW, centre culturel dans l’anci …

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En Bretagne, la ville de Morlaix détient un patrimoine scénique étonnant. Il y a le Théâtre du Pays de Morlaix (1888) avec sa salle à l’italienne et vient d’être inauguré le SEW, centre culturel dans l’ancienne Manufacture de tabacs (Construire + LAAB). Aussi, un autre théâtre, caché, a fait, pour la première fois, l’objet d’une étude durant le workshop qui s’est déroulé du 27 septembre au 1er octobre 2021.

Acheté par Gilles Baillet, pour sauver le lieu, ce « vieux théâtre » (1783) a été analysé de fond en combles par sept étudiantes de M1. Ensemble, elles ont établi des scenarii à partir des plans relevés ; elles ont passé à la loupe les (rares) archives témoignant de son existence et de son activité, documentation pré-identifiée par l’historienne Corinne Le Noan. Spéculant sur la partie scénique, qui a totalement disparue depuis la fermeture définitive de 1888, elles ont tenté de restituer un état initial du théâtre et de préciser sa typologie. Tableau d’analyse comparée, reconstitution en maquettes physique et 3D de ce lieu et recoupements historiques ont étayé ce travail qui a été restitué “dans les murs” devant les acteurs du projet. Une première étape, à approfondir l’année prochaine.

Étudiantes : Valeriia Babii, Sarah Barakat, Eva-Léna Chaudel, Rim Falakha, Paola Majdalani, Zeineb Ouertani et Juliette Vincens de Tapol.

Enseignant : Rafaël Magrou.

Remerciements : Gilles Baillet, propriétaire du « vieux théâtre » ; Corinne Le Noan, historienne, auteure du livre sur le Théâtre du Pays de Morlaix ; Nicolas Le Boennec, archiviste de la Ville de Morlaix ; Olivier Thomas Architecte des bâtiments de France, UDAP du Finistère ; Bernard Léopold, architecte (en charge du relevé) ; André Laurent, adjoint à la culture, Ville de Morlaix ; Agnès Le Brun, maire de Morlaix (2008-20) vice-présidente de la Communauté d’agglomération de Morlaix ; Alain et Anne-Marie Quesseveur, Maison du Peuple ; Madeleine Louarn et Thierry Seguin, Entresort Centre national pour la création adaptée / SEW.


Recherche : Panneaux expérimentaux de mur "biodiversitaire"

Depuis 2019, Delphine Lewandowski mène une thèse en architecture, en Cifre (convention industrielle de formation par la recherche) dans l’agence d’architecture Chartier Dalix. Sa thèse est dirigée à l’ …

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Depuis 2019, Delphine Lewandowski mène une thèse en architecture, en Cifre (convention industrielle de formation par la recherche) dans l’agence d’architecture Chartier Dalix.
Sa thèse est dirigée à l’école par Robert Le Roy (laboratoire GSA) et co-dirigée par Philippe Clergeau (CESCO, Muséum national d’histoire naturelle), avec le suivi de Sophie Deramond pour l’agence Chartier Dalix.
Elle s’intitule “Étude et définition théorique, technique et biologiques du mur “biodiversitaire” – Un nouveau système de végétalisation verticale favorisant la biodiversité”.

Delphine Lewandowski a créé un pavillon qui présente six prototypes de mur “biodiversitaire” maçonnés en briques pleines, briques Monomur et pierre sèche. Il est équipé d’une instrumentation qui suit les données météorologiques du site et l’humidité dans les murs, installée par l’IRD. Il est visible sur le site du Muséum national d’histoire naturelle, au 43 rue Buffon à Paris.
Delphine met en place et assure le suivi de protocoles expérimentaux permettant d’étudier le fonctionnement du système tant au niveau écologique que pour l’analyse structurelle des matériaux utilisés.

Elle a notamment présenté son travail lors d’une visite au Muséum national d’histoire naturelle le 30 novembre 2021, en présence de Pascale Dalix et Sophie Deramond, de l’agence Chartier Dalix, et, pour l’ENSA Paris-Malaquais, de Maurizio Brocato, directeur du laboratoire GSA, Muriel Lena, responsable administrative de la recherche à l’école, Florence Quiqueré, directrice adjointe et Luc Liogier, directeur.


École Zéro – 2e édition

À l’initiative d’étudiant·e·s et diplômé·e·s de l’ENSA Paris-Malaquais, la deuxième édition de l’École Zéro s’est tenue du 29 juillet au 8 août 2021 à Chaveignes, commune limitrophe de Richelieu, …

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À l’initiative d’étudiant·e·s et diplômé·e·s de l’ENSA Paris-Malaquais, la deuxième édition de l’École Zéro s’est tenue du 29 juillet au 8 août 2021 à Chaveignes, commune limitrophe de Richelieu, en Indre-et-Loire.

Elle a rassemblé plus de 110 participant·e·s venu·e·s de toute la France (étudiant·e·s en architecture, architectes, designer·euse·s, enseignant·e·s, artistes et paysagistes) chez Violette Antigny, artiste travaillant le textile, qui a mis à disposition le terrain où se sont tenus les différents ateliers.

L’École Zéro a noué des liens forts avec « La Teinturerie », association culturelle implantée à Richelieu, qui développe des résidences artistiques en lien avec les écoles des Beaux-Arts de la région.
Deux des membres de La Teinturerie ont animé des ateliers, dont un atelier photo qui s’est déroulé sur place, dans le laboratoire du photographe Clément Darasse.
Le céramiste Blaise Raymond a organisé, sur le site de l’École Zéro, un atelier de céramiques qui ont été cuites dans un four construit pour l’occasion lors du dernier week-end.

Ces dix jours de workshops ont permis de rencontrer et d’échanger avec des acteur·trice·s du territoire local, des agriculteur·trice·s, des artisan·e·s et les élu·e·s.

Pour cette édition, l’École Zéro a invité différents collectifs, dont certains ont été créés par d’ancien·ne·s étudiant·e·s de Paris-Malaquais, pour animer les chantiers et discussions : Niveau Zéro Atelier (NOA) a présenté son travail et proposé un atelier d’extrusion de terre crue, projet lauréat de Faire Paris 2020, MLAV LAND a proposé un atelier d’autodéfense électronique, l’Atelier Mare a animé une initiation à l’expérimentation et au prototype en matériaux régionaux à travers la réalisation de plusieurs séries d’échantillons.

L’École Zéro remercie l’ENSA Paris-Malaquais pour son soutien.

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